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La conférence Lysias a organisé la reconstitution du procès de Landru, condamné à mort le 25 février 1922 pour le meurtre de onze personnes.
par Rémi Flamantle 23 février 2017
Certains événements nous rappellent à quel point les mots ne meurent jamais. Le 21 février 2017, la conférence Lysias l’a prouvé de la plus belle des manières. Avec une mise en scène réussie, elle a remonté le temps de 96 années en organisant dans l’auditorium du musée Dapper, à Paris, la reconstitution du procès d’Henri Désiré Landru, premier tueur en série français. En 1921, le Barbe-Bleue de Gambais fascinait le pays tout entier1. L’écrin de ce procès a peut-être changé mais l’enjeu reste le même : Landru a-t-il assassiné dix femmes et un enfant avant de les incinérer dans la gazinière de sa villa ? Le doute est permis. Un doute intemporel.
L’avocat David Koubbi2, président de ces assises le temps d’une soirée, prend la parole : « Gardes, faites entrer l’accusé ! » Les assises sont ouvertes. Madame Cuchet, sœur d’une des disparues s’avance à la barre. Incarnée par l’étudiante Alizée Guna, la femme paraît effondrée et refuse de croiser le regard de Landru « mais je devais à ma sœur de venir parler aujourd’hui », explique-t-elle. Reprenant très vite ses esprits, elle se souvient de la rencontre de sa sœur avec Landru puis le départ en vacances à la villa, en campagne. Soudain, s’adressant aux jurés : « Je vous supplie de faire tomber la tête de Landru dans le panier de la guillotine ! » Landru, sous les traits du très bon Arnaud Attias3, s’adresse aussitôt au témoin : «...
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