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Hier, à la cour d’assises de Nancy, s’ouvrait le troisième procès du docteur Jean-Louis Muller, condamné à deux reprises pour le meurtre de sa femme, Brigitte Oudille en 1999 à Ingwiller (Bas-Rhin)
par Marine Babonneaule 22 octobre 2013

Jean-Louis Muller a-t-il tué sa femme par arme à feu ? Cet homme, aux rondeurs rassurantes et à la loquacité constante, « attiré » depuis « toujours » pour les armes à feu a-t-il déguisé son acte en suicide ? La première journée de ce troisième procès, à la suite d’une cassation prononcée par la chambre criminelle le 22 juin 2011, a d’abord été consacrée à la présentation de la personnalité du docteur, également légiste auprès de l’institut médico-légal de Strasbourg. Fils d’un médecin généraliste, aujourd’hui décédé, « autoritaire, pieux et pratiquant » et d’une mère « sévère et avare de ses sentiments », Jean-Louis Muller a vécu dans une « ambiance familiale mouvementée », comme l’a rappelé la présidente de la cour, Marie-Cécile Thouzeau. « Elle avait une personnalité très forte, quand même, votre mère. Elle a, un jour, cassé une bouteille sur la tête de votre père parce qu’elle l’accusait d’avoir une histoire avec la bonne, non ? ». Et...
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