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Article

Clause résolutoire, bogue informatique et force majeure
Clause résolutoire, bogue informatique et force majeure
Dès lors qu’il revêt les caractéristiques de la force majeure, le problème informatique ayant rendu impossible l’exécution d’un ordre de virement, fait échec à la mise en œuvre de la clause résolutoire.
par Y. Rouquetle 10 mars 2010

Dans le cadre d’une procédure visant à constater l’acquisition de la clause résolutoire, le tribunal de grande instance de Paris a condamné la société locataire à s’acquitter de sa dette de loyer, les effets de la clause étant suspendus sous réserve de l’apurement de la dette sans anicroche, pendant dix-huit mois, le 1er de chaque mois.
À la suite de cette condamnation, le preneur a mis en place un ordre de virement permanent à intervenir le 25 de chaque mois sans contrôle préalable du solde (une convention de découvert ayant été négociée avec l’établissement financier).
En dépit de ces précautions, en raison d’un problème informatique, la dernière échéance (du mois de septembre) avait été honorée avec retard (la situation ayant été régularisée le 6 du mois).
Par voie de conséquence, le bailleur a délivré à son cocontractant un commandement de quitter les lieux et a fait dresser un procès-verbal de tentative...
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