- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Développement durable et urbanisme commercial
Développement durable et urbanisme commercial
Le Conseil d’État vient préciser les modalités d’appréciation des composantes du critère de développement durable prévu à l’article L. 752-6 du code de commerce.
par A. Vincentle 1 juillet 2011

Le Conseil d’État poursuit son œuvre pédagogique en venant préciser les modalités d’appréciation des nouveaux critères issus de la loi de modernisation de l’économie n° 2008-776 du 4 août 2008 de délivrance d’une autorisation d’exploitation commerciale par une commission départementale d’aménagement commercial.
La décision commentée est intéressante à double titre : d’une part, parce qu’elle annule sur le fond une décision de la commission nationale d’aménagement commercial (CNAC) d’autoriser une surface commerciale (ce qui est assez peu fréquent) et, d’autre part, parce que le Conseil d’État prend position sur les modalités concrètes que doit respecter un projet pour répondre aux critères de qualité environnementale et d’insertion dans les réseaux de transports collectifs.
La grille d’analyse des critères permettant d’apprécier la légalité d’une autorisation d’aménagement commercial a été fixée pour la première fois par le Conseil d’État en octobre 2010 (V. CE 4 oct. 2010, Synd. commercial et artisanal de l’agglomération sénonaise, req. n° 333413, Lebon à paraître ; Dalloz actualité, 14 oct. 2010, obs. Vincent
; Constr.-Urb. 2010, n° 140, obs. Renaux ; BJCL 2010. 828, concl. Keller, obs. Poujade). La décision de la CNAC avait en l’espèce été validée. Le Conseil d’État n’avait en revanche pas développé son raisonnement sur le moyen tiré du non-respect du critère de qualité environnementale du projet, faute pour le requérant d’avoir assorti ses affirmations d’éléments permettant d’en assurer le bien-fondé.
Les critères...
Sur le même thème
-
Infractions au code de l’urbanisme : l’astreinte assortissant une mesure de remise en état des lieux ne constitue pas une réparation du dommage causé
-
Les pouvoirs du juge des référés au cas de violation des règles d’urbanisme
-
L’article L. 480-14 du code de l’urbanisme ne restreint ni la compétence ni les pouvoirs du juge des référés
-
Partie d’un bien organisé en volumes : inapplicabilité du droit de délaissement
-
Le droit de l’urbanisme tiraillé entre préservation de l’environnement et construction de logements
-
Les déclinaisons de l’arrêt Commune de Saint-Bon-Tarentaise
-
En matière d’intérêt pour agir, le mort ne saisit pas le vif
-
Non-transmission d’une QPC relative au régime des visites domiciliaires en matière d’urbanisme
-
Permis de construire obtenu par fraude : pas de régularisation possible par modificatif
-
La participation du public comme nouvelle condition d’octroi de l’autorisation d’urbanisme dans le périmètre de certains sites Seveso