- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Visa: appréciation de la condition de ressources suffisantes
Visa: appréciation de la condition de ressources suffisantes
Le Conseil d’État vient de juger que le demandeur d’un visa court séjour, qui ne dispose pas de ressources personnelles suffisantes pour pourvoir à ses frais de séjour, doit apporter la preuve que la personne qui l’héberge s’est engagée à y pourvoir au moyen, notamment, de l’attestation d’accueil. La preuve de l’insuffisance des conditions de ressources de l’hébergeant incombe à l’administration.
par Z. Aït El Kadile 7 avril 2009

Le requérant, ressortissant algérien à la retraite, s’était vu refuser un visa de court séjour pour rendre visite à son fils qui devait l’héberger. La commission de recours contre les décisions de refus de visa d’entrée en France avait confirmé ce refus au motif que le lien de filiation dont le requérant se prévalait n’était pas établi et que ses ressources, pour assurer le financement de son séjour, étaient insuffisantes. Or, le requérant avait produit, à l’appui de sa demande de visa de court séjour, une quittance de retrait de devises de 900 € et une attestation d’accueil de son fils accompagnée d’un engagement de prendre en charge ses frais de séjour au cas où il n’y pourvoirait pas et validée par le maire de la commune où celui-ci résidait.
La loi n° 2003-1119 du 26 novembre 2003 sur l’immigration, qui a remplacé le certificat d’hébergement par l’attestation...
Sur le même thème
-
Pause estivale
-
Appréciation globale par l’ARCOM du pluralisme de l’information
-
Précisions apportées au régime juridique de l’astreinte pénale en urbanisme
-
Panorama rapide de l’actualité « Administratif » de la semaine du 30 juin 2025
-
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois de juin 2025
-
La modeste condamnation de la France pour contrôle au faciès
-
L’État et l’après-Bétharram
-
Démission d’office des conseillers régionaux déclarés inéligibles
-
Panorama rapide de l’actualité « Administratif » de la semaine du 23 juin 2025
-
Conditions d’injonction à une personne publique de mettre fin à un comportement dommageable ou à un dommage de travaux publics : le Conseil d’État poursuit sa synthèse