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Après un premier jugement controversé, la cour d’appel de Versailles vient de livrer son arrêt dans la très médiatique affaire Haurus, du nom de cet ancien policier poursuivi pour des trafics sur le darknet.
par Gabriel Thierryle 3 décembre 2021
On savait que le jugement de première instance de l’affaire Haurus avait été entaché d’une erreur de droit. La cour d’appel de Versailles, dans son arrêt du 26 novembre, en a décelé une deuxième, qui a bénéficié au prévenu, un ancien agent de la DGSI poursuivi pour avoir vendu sur le darknet des informations confidentielles issues de fichiers de police.
Pour rappel, Christophe B. avait été condamné en juillet dernier à sept ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis par le tribunal correctionnel de Nanterre. Le sursis partiel est pourtant limité aux peines d’emprisonnement de cinq ans maximum.
Soit, pour l’accusation, un excès de bienveillance. L’avocat général Henri Genin avait ainsi rappelé lors de l’audience d’appel que le quantum – les sept...
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