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A l’occasion de Marseille-Provence 2013, le barreau de la cité phocéenne organise une exposition sur la robe d’avocat et relance le concours de plaidoirie de la francophonie.
par Mickaël Penvernele 15 novembre 2013
Une robe treillis, façon tenue de combat. C’est une des curiosités de l’exposition « La robe d’avocat dans tous ses Etats… Membres » organisée par le barreau de Marseille à l’occasion de l’année Capitale européenne de la culture. Né à la cour de Byzance au 12e siècle, ce vêtement a été introduit en Europe par Charles Quint au 16e siècle. Il prend sa forme définitive en France en 1810 lorsque Napoléon rétabli l’ordre des avocats. La robe est noire et ample, fermée par 33 boutons, avec un rabat blanc en guise de « cravate », et avec une épitoge bordée d’hermine (sauf à Paris) accrochée sur l’épaule gauche. « Il y a eu un débat au début des années 70 pour savoir s’il fallait la brûler ou pas », raconte Wilfried Meynet, l’organisateur de cette exposition....
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