- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
L’heure est au bilan pour le CJPM avec la remise au Parlement, ce vendredi 13 octobre, du rapport établi par le gouvernement sur son application, conformément à ce qui était prévu à l’article 8-2 de l’ordonnance n° 2019-950 du 11 septembre 2019.
par Juliette Lazerus, Rédactrice au pôle pénal des Editions Lefebvre-Dallozle 13 octobre 2023

Entré en vigueur le 30 septembre 2021, le code de la justice pénale des mineurs (CJPM) est venu abroger l’ordonnance n° 45-174 du 2 février 1945 qui fixait les règles applicables aux mineurs délinquants. Cette codification avait notamment pour objectifs de raccourcir les délais de jugement, d’améliorer l’efficacité de la justice des mineurs ainsi que le sort des victimes. Après deux ans d’application soutenue par une augmentation du budget pour accompagner son entrée en vigueur (86 millions en 2023) le bilan global est, selon le gouvernement, satisfaisant.
Des délais de jugement raccourcis
Le CJPM a réussi à réduire considérablement les délais de jugement des mineurs grâce à la césure du procès pénal et à la procédure de mise à l’épreuve éducative applicable tant devant le juge des enfants que devant le tribunal pour enfants (CJPM, art. L. 521-1). Pour mémoire, cette procédure se divise en trois phases :
- l’audience d’examen de la culpabilité ;
- la mise à l’épreuve...
Sur le même thème
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 9 juin 2025
-
Gérald Darmanin face aux défis budgétaires de la justice
-
Le contrôle judiciaire d’un maire ne peut avoir pour effet de faire obstacle à l’exercice effectif de son mandat
-
Rappel des règles en matière de motivation des arrêts de cours d’assises
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » des semaines du 26 mai et du 2 juin 2025
-
Question sur la constitutionnalité de la nouvelle définition de l’agression sexuelle adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale
-
Perquisitions : qu’importe l’occupant, pourvu qu’il soit présent
-
Incompétence du juge d’instruction pour un interrogatoire de première comparution suivi d’une mise en examen à l’étranger
-
[PODCAST] Quid Juris – Affaire Depardieu : la « victimisation secondaire » en débat
-
Quand le recours subrogatoire des tiers payeurs se heurte à la rigueur de la procédure pénale