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Mardi soir, le nouveau garde des Sceaux Didier Migaud était auditionné par la commission des Lois de l’Assemblée nationale. L’occasion pour lui de lister – prudemment – ses priorités, d’évoquer le budget et les réformes à venir et aussi de montrer sa vision de la justice.
par Pierre Januel, Journalistele 10 octobre 2024

La première audition à l’Assemblée d’un nouveau ministre est un rite de passage, l’occasion d’impulser ses priorités et de montrer son style. Il y a quatre ans, l’audition d’Éric Dupond-Moretti présentait un ministre parfois contraint par sa nouvelle fonction. L’enjeu pour Didier Migaud était inverse. Il connaît bien l’Assemblée. Mais s’il y a siégé comme député socialiste pendant vingt-et-un ans, il l’a quitté en 2010 pour présider la Cour des comptes puis la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
Or, la vie politique ressemble à la vie des chats : quatorze années équivalent un siècle et tout a changé depuis 2010. Signe des temps, la seule députée de la commission que Migaud a pu connaître est Brigitte Barèges, députée UMP battue en 2012 et qui vient de le redevenir en étant soutenue par le RN. Jamais les clivages n’ont été aussi forts. Or, Didier Migaud a peu de soutiens. Perçu comme trop à gauche par le RN et le LR, il n’est connu ni par les macronistes, ni par la gauche. Malgré plus de vingt ans en politique, il est vu comme un technocrate, qui, à la tête de la Cour des comptes a souvent eu un discours de gestionnaire.
En propos liminaires, Didier Migaud veut, comme « ancien magistrat financier », indiquer le « regard personnel » qu’il porte sur sa fonction : « Mon rôle est de mieux faire connaître et comprendre la justice. Elle mérite notre...
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