- Administratif
- Toute la matière
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Loi et traité
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Profession juridique et judiciaire
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Toute la matière
- > Audiovisuel
- > Commerce électronique
- > Communications électroniques
- > Contrat – Responsabilité
- > Cyberdélinquance
- > Infrastructures et réseaux
- > Intelligence artificielle
- > Droits fondamentaux
- > Propriété industrielle
- > Propriété littéraire et artistique
- > Protection des données
- > Statut professionnel
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Droit international et communautaire
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- Avocat
Article
Les enjeux juridiques des JO de Paris 2024 – Épisode 3 – JO et lutte contre le dopage : quelle organisation pour la lutte contre le dopage durant les Jeux de Paris 2024 ?
Les enjeux juridiques des JO de Paris 2024 – Épisode 3 – JO et lutte contre le dopage : quelle organisation pour la lutte contre le dopage durant les Jeux de Paris 2024 ?
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris 2024, le cabinet VIGO, en partenariat avec Dalloz actualité, vous propose une série d’articles consacrés aux problématiques juridiques rencontrées dans le cadre de cet événement. Au programme, les questions juridiques et réglementaires essentielles liées à l’organisation des Jeux olympiques, notamment les enjeux RSE pris en compte dans l’organisation, la lutte contre le dopage, les atteintes à la probité, et l’impact environnemental. Troisième épisode : JO et lutte contre le dopage, quelle organisation pour la lutte antidopage durant les Jeux de Paris ?
En avril 2024, à trois mois des Jeux olympiques et paralympiques de Paris (JO 2024), le New York Times et la chaîne allemande ARD révélaient que vingt-trois athlètes chinois contrôlés positifs en 2021 avaient pu participer aux Jeux de Tokyo après avoir été blanchis prétendument dans le plus grand secret par l’Agence mondiale antidopage (AMA). Dans la foulée de ces révélations, l’agence antidopage américaine avait évoqué un « maquillage au plus haut niveau de l’AMA », qui aurait « mis ces cas positifs sous le tapis ». Onze de ces athlètes figurent aujourd’hui dans la liste que la Chine enverra à Paris. Nul doute que ces athlètes, comme tous les autres, seront particulièrement surveillés durant les Jeux de Paris afin notamment d’éviter les errements des Jeux de Londres en 2012 avec plus de 70 médailles retirées ou réattribuées a posteriori.
Jeux olympiques et lutte contre le dopage : une histoire ancienne
Les premiers athlètes disqualifiés pour dopage aux Jeux, après l’introduction des tests, sont le pentathlonien moderne suédois Hans-Gunnar Liljenwal aux Jeux de Mexico en 1968 (pour traces excessives d’alcool) et, quatre ans plus tard, un hockeyeur sur glace allemand, Alois Schloder, contrôlé positif à l’éphédrine (Jeux d’hiver à Sapporo en 1972).
Après avoir élaboré en 1988 la Charte internationale olympique contre le dopage dans un objectif d’harmonisation des règles, le Comité international olympique (ci-après, CIO) a soutenu l’existence d’une Agence mondiale antidopage (ci-après, AMA), fondation de droit privé suisse financée à parité par le mouvement sportif et les États, créée en 1999, dont le siège social est à Lausanne.
En 2003, l’AMA a édicté un code mondial antidopage fixant ses propres compétences et les règles ayant vocation à s’appliquer à tous les sports et dans tous les pays (liste des produits et procédés interdits, organisation des contrôles, sanctions et procédures disciplinaires, etc.). L’ensemble des fédérations internationales des sports représentés aux Jeux olympiques ont souscrit à ce code dès les Jeux d’Athènes de 2004.
Si...
Sur le même thème
-
Les nombreuses inconnues de la censure du gouvernement Barnier
-
Dispense d’obligation de déclaration de cessation des paiements pendant le cours de la conciliation
-
Subrogation de l’AGS et paiement des frais de justice
-
Non-application des règles de la postulation devant les tribunaux de commerce, nonobstant la mise en place de la procédure avec représentation obligatoire
-
Accidents de la circulation : complétude de l’offre d’indemnisation
-
Panorama rapide de l’actualité « Affaires » de la semaine du 25 novembre 2024
-
Prêt couplé à une assurance non obligatoire : une pratique déloyale ?
-
Loi Le Meur : les règles d’imposition au régime micro-BIC des loueurs de meublés de tourisme sont encore modifiées
-
La règle majoritaire et les décisions collectives de SAS
-
SAS, dirigeant personne morale et responsabilité pour insuffisance d’actif : les liaisons dangereuses, épisode 2