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Ces derniers jours, Gérald Darmanin s’est expliqué d’un ton franc devant les commissions des deux assemblées sur le budget de la justice et les nombreuses promesses faites ces dernières semaines. Après des années fastes, le ministère doit gérer la rigueur, alors que les besoins en investissement restent massifs.
par Pierre Januel, journalistele 11 juin 2025

Si la hausse du budget est légèrement moins importante que prévue (+ 4,5 % par rapport à 2023), la justice aura moins souffert que les autres missions budgétaires. Si elle avait fait l’objet, à l’instar des autres, d’un important coup de rabot en février, une partie des montants gelés a pu être récupérée en fin de gestion.
Si la Justice a été – relativement – préservée, c’est aussi parce que les besoins restent importants. Un sondage non-public de l’IFOP commandé par le gouvernement le 6 février dernier, indiquait que pour les Français, le ministère de la Justice était celui auquel l’État devrait accorder plus de moyens (50 % favorable), devant l’Éducation (45 %), l’Agriculture (41 %), les Armées (33 %) et l’Intérieur (30 %).
Reste qu’après l’adoption d’un budget 2025 déjà mouvementé, le 25 avril dernier, la justice a fait l’objet d’une annulation de 139 millions de crédits. Cette baisse se concentre sur la justice judiciaire et la PJJ, la pénitentiaire étant épargnée. Le ministre des comptes publics a annoncé que des montants comparables devaient être mis en réserve. La Chancellerie ne nous a pas indiqué sur quoi porteraient les efforts.
Le plan 15 000 en voie de remaniement
L’an dernier, les recrutements ayant été priorisés, les efforts ont d’abord porté sur l’investissement. Le ministère a été contraint de revoir ses projets pluriannuels immobiliers et informatiques.
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