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Depuis vingt-cinq ans, les centres éducatif fermés (CEF) sont plébiscités, au point que François Hollande, puis Emmanuel Macron aient souhaité doubler leur nombre. Mais un rapport rendu en mars souligne les limites du dispositif actuel, soulignant l’hétérogénéité des centres, le pilotage institutionnel insuffisant et le manque de suivi des parcours des enfants placés. Au point de remettre en cause les projets de construction.
par Pierre Januel, Journalistele 8 juillet 2025

Si, à leur création, les centres éducatifs fermés avaient été contestés, les présidents successifs ont depuis régulièrement proposé d’en doubler leur nombre, que ce soit François Hollande puis Emmanuel Macron. En mars 2019, la loi d’orientation avait programmé vingt-deux nouveaux CEF. À ce jour, seuls quatre ont ouvert – mais quatre ouvriront cette année. Un programme avec plusieurs limites : l’Île-de-France et le Sud-Est restent sous-dotées au regard des besoins. Et, alors qu’initialement le coût envisagé était de 4,5 millions d’euros par CEF, il est plutôt de six ou sept millions d’euros.
Mais ce programme de construction a-t-il encore un avenir ? Récemment, lors d’une audition au Sénat, le garde des Sceaux, Gérald Darmanin, s’était interrogé sur la nécessité d’augmenter le nombre de CEF, compte tenu de leur coût et des impacts sur la récidive. En 2022 déjà, le Sénat appelait à une pause, « la concentration de moyens nécessaire au bon fonctionnement » de ces centres étant « de plus en plus difficile à réunir et s’effectue au détriment d’autres formes de prise...
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