- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Dimanche soir, le président de la République a fait le choix de dissoudre l’Assemblée nationale. Les conséquences de cette dissolution sont nombreuses, de l’organisation de nouvelles élections dans des temps records à l’enterrement de nombreux travaux parlementaires.
par Pierre Januel, Journalistele 11 juin 2024

De nouvelles élections express
Première conséquence de la dissolution : de nouvelles élections sont annoncées pour les 30 juin et 7 juillet. L’article 12 de la Constitution prévoit en effet qu’un nouveau scrutin doit se tenir entre vingt et quarante jours après la dissolution.
Différentes raisons expliquent le choix d’une campagne courte. D’abord, politiquement, Emmanuel Macron a souhaité une campagne brève et surprise.
Ensuite, le dimanche 14 juillet étant un jour férié, cela rendait plus complexe l’organisation du scrutin.
Or, notre droit et notre organisation administrative sont peu adaptés à des campagnes aussi courtes. Ainsi, le code électoral prévoit que les déclarations de candidatures se font normalement le quatrième vendredi précédant le scrutin. Ce délai étant déjà dépassé, c’est le décret de convocation des électeurs qui fixe les différentes échéances...
Sur le même thème
-
Panorama rapide de l’actualité « Administratif » de la semaine du 2 juin 2025
-
Le Sénat veut plus de dérogations locales
-
[PODCAST] « Quid Juris » – Autoroute A69 : quelles voies de droit ?
-
Le contrôle judiciaire d’un maire ne peut avoir pour effet de faire obstacle à l’exercice effectif de son mandat
-
La demande de délaissement même antérieure ne peut prévaloir sur la procédure d’expropriation
-
Subsistance d’une réglementation antérieure en dépit d’une loi nouvelle
-
La convocation devant la commission du titre de séjour est une garantie
-
Régularité de mise en œuvre d’une procédure de rétention administrative
-
Responsabilité du fait de la destruction d’un monument funéraire
-
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois du 1er au 31 mai 2025
Sur la boutique Dalloz
Code constitutionnel et des droits fondamentaux 2025 annoté, commenté en ligne
08/2024 -
14e édition
Auteur(s) : Michel Lascombe; Aurélien Baudu; Aymeric Potteau; Xavier Vandendriessche; Christelle De Gaudemont