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La proposition de loi Attal sur la justice des mineurs aura connu un parcours assez curieux. À l’Assemblée comme au Sénat, les dispositions principales très contestées ont été supprimées en commission avant d’être rétabli en séance. Malgré ce parcours peu lisible, la commission mixte paritaire est arrivée à un compromis, que nous détaillons.
par Pierre Januel, Journalistele 14 mai 2025

La proposition de loi sur la justice des mineurs, portée par Gabriel Attal est l’exemple parfait des difficultés à légiférer que connaît le Parlement depuis la dissolution de juin 2024. Plutôt que de porter son texte, le gouvernement avait soutenu une proposition parlementaire. Les dispositions visaient à répondre aux émeutes de 2023. Elles ont été contestées par leur aspect répressif par une partie de la gauche mais également, par les professionnels, pour leur caractère plus politique qu’opérationnel.
À l’Assemblée, à quelques voix de majorité, les articles phares avaient été supprimés en commission et rétabli en séance. Au Sénat, en commission, c’est le rapporteur LR Francis Szpiner, ancien avocat, qui avait fait remanier le texte en profondeur. Mais en séance, contre son avis, la majorité avait rétabli les articles. Pour faciliter le compromis, le rapporteur a été évincé de la commission mixte paritaire. Une situation rarissime. La commission mixte paritaire a abouti à un compromis, qui sauvegarde l’essentiel du texte initial et des ajouts. Sauf nouvel incident, l’Assemblée devrait l’adopter ce mardi, avant qu’il ne soit soumis au conseil constitutionnel.
Comparution immédiate et abaissement de la majorité pénale
Le projet de comparution immédiate des mineurs...
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