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Le droit en débats

Notre maison brûle ! Ne regardons pas ailleurs

Avocat conseil de délégations de l’Autonome de Solidarité Laïque depuis plus de dix, j’ai pu constater, comme bien d’autres de mes confrères intervenant dans le même domaine, combien la laïcité était prise à la gorge par les islamistes dans nos écoles. Le point culminant de cette attaque en règle a été l’assassinat d’un professeur d’histoire-géographie.

Par Dominique Trouvé le 05 Novembre 2020

Lors des formations que nous dispensons aux enseignants, les questions sur la laïcité sont devenues de plus en plus fréquentes puis de plus en plus angoissées.

Beaucoup, enseignants, conseillers principaux d’éducation, agents techniques et personnels de direction, se sentent désarmés.

Aujourd’hui cette inquiétude a atteint son paroxysme : un enseignant a été tué de façon horrible pour avoir illustré la tolérance en montrant des caricatures de Mahomet tout en prévenant les musulmans qu’ils pouvaient être choqués et donc ne pas regarder.

Voici la barbarie de notre siècle. Alors que, il y a 500 ans, un homme écrivait : « tuer un homme, ce n’est pas défendre une doctrine, c’est tuer un homme. Quand les genevois ont tué Servet, ils n’ont pas défendu une doctrine, ils ont tué un homme. »1.

L’auteur de ces mots, Sébastien Castellion (1515-1563), qui ne comprenait pas que l’on puisse être brûlé vif pour ses convictions religieuses, pourrait toujours mener le même combat s’il revenait parmi nous.
La tolérance n’est pas encore une donnée commune aux humains et on peut, dans notre siècle, mourir parce qu’on a voulu l’enseigner.

Mais comment et pourquoi en est-on là ? Est-ce irrémédiable ?

Il y a la cause immédiate, à savoir le fanatisme religieux et plus spécialement l’islamisme, puisque c’est cela qui a tué l’enseignant. Ce phénomène a une tendance au développement rapide devant des spectateurs, y compris nos politiques, médusés. Nous avons été plus promptes et efficaces à agir contre les terroristes islamistes à l’étranger qu’à s’attaquer au problème sur notre territoire. Puis il y a des causes plus médiates et plus propres à l’occident : la pauvreté, l’exclusion, le désespoir et l’abandon de certaines valeurs vite remplacées par un intégrisme à l’affut.

Mais, dans la chaîne des causes, il en est une qui me semble déterminante : le silence. L’attitude qui consiste à jeter un voile sur les faits dérangeants ; non pas un voile religieux, mais un voile de renoncement, de lâcheté même.

I - Un constat

La décapitation d’un enseignant n’est pas un acte sui generis. Il est le paroxysme de nombreuses situations inacceptables d’un point de vue républicain. Face à elles, il y a pourtant un moyen de défense : la laïcité.

A - Des situations

Les terreaux dans lesquels l’islamisme se développe aisément sont connus : la pauvreté et ses ghettos, la prison et l’école2.

Rappelons qu’il ne s’agit pas de foi, de spiritualité avec dieu, mais de récupération idéologique à des fins politiques cristallisées autour du dogmatisme salafiste.

Que se passe-t-il dans nos écoles ?

Dans la partie visible de l’iceberg, on trouve le débat sur l’accompagnement des sorties scolaires par des mamans portant le voile religieux.

Si on admet l’exigence de neutralité pour le personnel de l’éducation nationale, la question reste plus floue pour les parents3. Ces derniers, souvent téléguidés par des groupements qui ne disent pas leurs buts, veulent imposer leur appartenance ostensible à une religion en se revendiquant de la liberté de religion et d’expression. Le débat est rude et chacun brandit la loi de 1905 qui sépare l’État et les églises, mais protège la liberté de culte.

Il y a aussi ce que j’appellerai « l’exceptionnel » dans le sens où il s’agit d’événements ponctuels comme la minute de silence refusée, voire perturbée, pour commémorer les attentats de Charlie.

Ce qui existe et que l’on sait moins car moins spectaculaire, ce sont les écoles qui renoncent à mettre un arbre de Noël dans le hall, les enseignants qui reçoivent des lettres de menaces car ils enseignent l’évolution des espèces ou encore les enseignantes à qui on refuse de parler parce qu’elles sont femmes. Ces exemples de conflits et de renoncements sont légions.

Mais ce sont aussi ces enseignants, ces chefs d’établissements courageux dont la détermination est mise à mal par une hiérarchie qui recherche le « pas de vague »4, une paix apparente et dont le seul souci est que la surface de l’eau ne révèle pas le tumulte des profondeurs.

Le hasard a voulu que je me plonge dans le livre de Jean-Pierre Obin5 au moment de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie. Je pense que certains recteurs, proviseurs vie scolaire, voire référents laïcité, ne doivent pas s’endormir facilement en pensant qu’ils ont, par leur volonté de ne pas s’opposer aux parents d’élèves et à leurs associations, préféré abandonner leur collègue, voire le trahir et renoncer au combat laïque6, alimentant ainsi la toute-puissance de ces parents extrémistes et ouvrant la voie à des actes bien pires.

Les heurts religieux rendent haineux, exacerbent les ressentis et favorisent le repli communautaire. En poussant le raisonnement, on peut imaginer la disparition pure et simple de l’école publique, chacun regagnant son camp : école catholique, musulmane, réformée et athée.

B - Un principe : la laïcité

Tout cela n’aurait jamais dû être. L’islamisme politique n’aurait jamais dû pouvoir s’exprimer ainsi si la laïcité avait été correctement utilisée.

La laïcité est difficile à définir, mais on connaît un de ses fondements, la tolérance et son but : endiguer les déferlantes religieuses qui veulent aller jusqu’à régir la vie publique des citoyens.

Mais la tolérance a vite été détournée par les extrémistes ; elle est devenue l’obligation pour tous de supporter le prosélytisme. Ainsi, s’est instauré un discours simpliste, dont le postulat est faux, mais qui reste efficace auprès d’une certaine population dont les attentes sont vaines et les déracinements sociaux sans réponses ailleurs que dans ces allégations. Refuser les signes religieux à l’école c’est de l’intolérance et donc celui qui veut exclure la religion de l’école ne peut se revendiquer de la laïcité. La loi de 1905 permet le port du voile islamiste par les élèves et même les protège. C’est cela qui est avancé par les défenseurs de l’expansionnisme des mouvements religieux extrêmes.

La laïcité est en fait restée à l’état de principe, de philosophie, de morale. Elle est ainsi employée par tous selon ses besoins. Cela s’explique, en partie, par le fait que ni la loi de 1905, ni aucun texte après, ne définissent expressément le mot laïcité. Du coup, de la protection de la sphère publique elle est utilisée pour protéger l’invasion de la sphère publique par les religions et principalement par l’islamisme extrémiste politique.

Persistant dans l’amalgame, ces extrémistes en induisent qu’interdire les signes religieux ostentatoires à l’école est intolérant et refuser l’accès de l’établissement à des collégiennes voilées de façon ostensible est islamophobe.

Il est vrai que l’islamophobie est devenue une arme redoutable alliée à une laïcité détournée. Nombre d’enseignants ont pu me confier leur crainte que d’agir au nom de la laïcité, ils ne soient taxés d’islamophobes et abandonnés de leur hiérarchie. Ainsi de cette professeure des écoles qui finit par accepter qu’un de ses élèves ne donnera jamais la main à une fille ! Là, le principe de laïcité, trop théorique et compliqué, a cédé le pas à l’accusation d’islamophobie, simpliste et factuel. Dans un tel cas, l’enseignant doit, souvent seul, expliquer aux parents que l’école de la République laïque ne peut admettre un tel comportement discriminant et que l’école doit apprendre à vivre ensemble. Si les parents sont en outre aiguillés par une association, l’enseignant, toujours seul, devient la cible d’attaques sur les réseaux sociaux. Puis la sentence tombe : cet enseignant est islamophobe. Alors, c’est la plainte à l’inspection. Cette dernière va, d’entrée de jeu, être agacée du bruit autour d’un seul enfant qui ne veut pas donner la main à une fille ; il suffit de le mettre avec un autre garçon et le calme revient. Tout le monde est ensuite convoqué à l’inspection académique où est aussi reçu le représentant d’une association de parents d’élèves. Enfin, le verdict tombe : on va veiller à ce que cela ne se reproduise pas, à ce que cet enfant ne soit pas contrarié dans son quotidien scolaire, qu’il ne soit pas un exemple de désordre et de conflit avec l’enseignant et surtout qu’il ne soit pas stigmatisé ; les parents peuvent compter sur l’inspecteur qui est à leur écoute.

Voilà comment, au quotidien, une paix scolaire est achetée, laissant une porte ouverte aux extrémistes jusqu’à l’acte irréparable. La tranquillité scolaire a ainsi été préférée à la laïcité.

II - Des pistes

Chacun connaît l’expression offusquée « vous attendez qu’il y ait un mort pour faire quelque chose ? » eh bien, ça y est, c’est arrivé ! Alors il est temps de faire quelque chose pour nos enseignants et nos écoles.

Il faut lutter contre l’extrémisme et donc se doter d’armes efficaces, mais aussi éduquer femmes et hommes à devenir citoyennes et citoyens. Tout cela en mettant en application nos grands principes ; continuons à les clamer, mais commençons à agir.

Deux axes me semblent primordiaux. D’une part, un arsenal législatif efficient et d’autre part, des enseignants et une hiérarchie ayant les moyens de garder le cap laïque.

A - Application de la laïcité dans les textes

Le texte phare est la loi de 1905 ; mais, au vu de ce qui précède, est-elle un outil efficace ?

Elle consacre la séparation des églises et de l’État. Cela est acquis. Mais, protège-t-elle l’organisation politique de la société contre les religions ? Cela est moins sûr.

Je veux, d’emblée, préciser que loin de moi l’idée de revenir sur cette loi. Elle doit, au contraire, être préservée comme élément source de la laïcité républicaine. Mais je crois qu’elle doit être renforcée et pouvoir s’appuyer sur d’autres textes explicites.

En effet, il faut donner corps à la laïcité, aller au-delà des grands principes pour une application quotidienne.

Dans cette démarche, il faut bien garder à l’esprit la différence entre laïcité et athéisme. Trop souvent les extrémistes font l’amalgame entre les deux. Or, on peut être religieux et laïque, mais certainement pas religieux fanatique et laïque. Ne pas faire de distinction permet aussi de réduire le laïc à l’incroyant. C’est l’argument de réserve du prosélytisme.

D’abord, au nom de la laïcité les parents exigent que l’école accepte que leur fille soit voilée, qu’elle n’aille pas en cours de gymnastique, que leur fils ne parle pas aux filles et que tous deux réfutent la théorie de l’évolution et n’assistent pas à certains cours de sciences. Si vous ne l’acceptez pas c’est de l’intolérance, de la discrimination et une atteinte à la liberté de conscience et d’expression. Si vous persistez dans votre position, vous êtes évidemment islamophobe. Enfin, si vous clamez votre attachement à la laïcité qui fonde votre attitude, vous êtes athée et donc l’ennemi à abattre.

Il n’y aurait certainement pas de conflit si le monde était divisé entre croyants en dieu et athée, avec une place pour les agnostiques. Il n’y a pas de conflit non plus entre les religions de ceux qui croient en Dieu, en tous les cas pas de conflit avec mort d’homme. Le conflit vient, depuis tout temps, du fanatisme religieux7.

La laïcité s’impose aussi aux athées. Je considère, par exemple, qu’un athée ne peut visiter une synagogue sans se couvrir la tête ou marcher avec ses chaussures sur les tapis d’une mosquée. Il s’agit là de respect et de tolérance.

Tenter de convaincre n’est pas un délit, forcer l’autre à croire devrait en être un. De nombreux textes défendent la personne contre les violences, mais ils ne sont pas tous applicables à la défense de la laïcité.

Quel texte avons-nous sous la main pour faire face à des parents qui ne veulent pas de mixité pour leur enfant ? Aucun. Aucun texte ne vise les manquements ou les entraves à la laïcité. Pourtant, l’article L. 141-5-1 du code de l’éducation, qui interdit le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse, prévoit une procédure disciplinaire précédée d’un dialogue. La Cour européenne des droits de l’homme a validé ces dispositions8. Pourquoi ne pas l’étendre, au-delà des éléments portés par l’élève, à l’attitude de celui-ci ?

Je conçois une problématique : c’est l’enfant qui est sanctionné. Il nous faut donc rédiger un texte clair sur cette question avec à la clef des stages de laïcité puis des sanctions graduées.

De même que le gouvernement va s’attaquer au rôle négatif des réseaux sociaux dans la divulgation d’idées anti-laïques, il faut prendre à bras le corps toute atteinte à la laïcité.

Nous avons des textes qui protègent l’intégrité physique, les biens, l’honneur. Il en faut qui protègent également la laïcité. Il faut que l’enseignant qui parle de tolérance ne puisse être convoqué par sa hiérarchie, sommé de s’expliquer pour avoir froissé les convictions religieuses de certains des parents d’élèves. Tout simplement parce que s’attaquer à un enseignement sur les religions ou sur la tolérance reviendrait à commettre une atteinte au principe de laïcité, atteinte prévue et réprimée par un texte.

Un texte de plus me dira-t-on ? Mais pour éviter un pas de plus de l’islam politique violent.

Un pas de trop dans la répression ? Mais pour éviter un mort de trop au champ d’honneur de la République.

Nous sommes en guerre contre l’intolérance, l’obscurantisme et la violence. En démocratie, les guerres de l’intérieur se gagnent par la loi.

Encore faut-il ne pas se tromper de cible. L’objectif est de lutter contre les extrémistes religieux par la laïcité. Il ne faut alors pas contrevenir au principe lui-même et je trouve donc dangereux de vouloir s’immiscer dans les affaires religieuses comme le suggère le discours du président de la République9 : « il nous faut aider cette religion dans notre pays à se structurer pour être un partenaire de la République ». La République n’a pas à aider une religion quelle qu’elle soit ; elle doit veiller à ce qu’elle reste dans la sphère privée et respecte la Loi. En outre, les religions n’ont pas à être partenaire de la République puisqu’elles sont censés y être intégrées ; la très grande majorité des musulmans ne veulent pas être des partenaires de la République, mais sont des républicains et veulent être reconnus comme tels.

Et que dire des 10 millions d’euros pour les « initiatives qui seront prises par la Fondation pour l’islam de France en matière de culture, d’histoire et de sciences. » ? Il est clairement fait l’amalgame entre le culturel et le cultuel et au bout du compte l’argent public va aller au secours d’une religion en aidant son versant culturel.

En réalité, il nous faut aider la laïcité et protéger les républicains de confession musulmane.

B - La formation des enseignants et de leur hiérarchie

C’est à l’école de la République que l’on commence à cultiver les terreaux matériels de la laïcité : ascenseur social, espoir de travailler, de vivre décemment mais aussi enseigner la tolérance et montrer la possibilité de vivre ensemble.
Si aujourd’hui le personnel de l’Éducation nationale est globalement frileux pour imposer la laïcité, c’est qu’il ne l’appréhende pas toujours très bien, qu’il est bien seul dans ces moments et qu’il ne peut compter sur sa hiérarchie.

La laïcité doit être discutée avec les jeunes enseignants qui vont entrer en carrière. Aujourd’hui, il n’existe aucune formation ; sauf peut-être celle prise en charge par la MAIF ou l’Autonome de Solidarité Laïque. Mais cela doit être systématique. Pas un enseignant ne devrait aujourd’hui prendre une classe sans être « laïquement » armé.

Les atteintes à la laïcité en milieu scolaire ne doivent plus être passées sous silence. Il faut arrêter les compromissions pour une paix scolaire d’apparat qui nous a coûté un mort aujourd’hui. Les atteintes à la laïcité, comme les atteintes à l’intégrité physique des enseignants, sont l’affaire de toute la communauté éducative.

L’enseignant ne doit donc pas être seul ; la laïcité est le bien commun de la communauté éducative et celle-ci doit faire bloc avec le soutien d’une hiérarchie courageuse. Il n’est pas normal qu’aujourd’hui les enseignants se sentent abandonnés dans leur combat laïque, incompris, au mieux, ou stigmatiser par la hiérarchie10. L’inspecteur11, car c’est à cet échelon que l’on se place, ne doit pas être craint, mais respecté. L’enseignant doit pouvoir trouver chez lui explications claires et assumées ; un certain réconfort donc. Or, force est de constater qu’aujourd’hui la menace de saisir l’inspecteur est brandie par les parents qui bénéficient d’une protection incompréhensible dès qu’ils prononcent le mot islamophobie.

Les héritiers des hussards noirs de la IIIe République doivent aujourd’hui se muer en hussards de la laïcité pour préserver cette République ; nous devons les y aider.

La défense laïque, parce qu’elle est laïque justement, ne peut engendrer un amalgame qui conduirait à stigmatiser les musulmans. C’est la force de la laïcité que de tolérer les religions et permettre à chacun de vivre sa foi. En effet, ce qui est combattu c’est l’extrémisme, la bêtise, l’obscurantisme. La laïcité s’accommode très bien de la religion musulmane, comme de toute autre, dès lors qu’elle reste dans la sphère privée, et la réciproque doit s’appliquer.

Seuls des enseignants portant un discours républicain de laïcité pourront, à terme, vaincre l’obscurantisme des religieux extrémistes. Ils ont besoin de formation, de guides pour faire passer leur message. C’en est assez que de les envoyer au front sans arme ni protection. Il faut donc que l’Éducation nationale organise des formations, sur le temps de travail des enseignants, visant à expliquer la laïcité (ses fondements, son rôle) et à donner les matériaux pour l’enseigner (ce que je peux faire ou ne pas faire, ce que je peux accepter ou pas).

Ne faudrait-il pas, pour tout cela (législation et formation), nommer un délégué interministériel à la Laïcité englobant l’Éducation, la Justice et la Police ? Mais faisons vite car l’incendie est bien avancé.

 

1. « Contre le libelle de Calvin » Castellion – article 94 in Sébastien Castellion, sa vie et son œuvre par Ferdinand Buisson 1892, thèse de doctorat.
2. G. Kepel, La laïcité contre la fracture ?, éditions Privat 2017.
3. D. Trouvé, L’école et le voile : le sens du vent, Le Droit en débats, 23 oct. 2019.
4. B. Ravet; Principal de collège ou imam de la République, éditions KERO 2017
5. Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école, Herrmann 2020.
6. Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école, op. cit., p. 119 s. : l’histoire édifiante de Marie.
7. De Charlemagne qui exécute au camp de Verden quatre mille cinq cents Saxons païens à la fuite de 700 000 Rohingyas musulmans de Birmanie en 2017 en passant par l’inquisition, la Shoa, les attentats du 11 septembre et les frères Kouachi.
8. CEDH 4 déc. 2008, n° 31645/04, Kervani c/ France, AJDA 2009. 872, chron. J.-F. Flauss ; RTD civ. 2009. 285, obs. J.-P. Marguénaud ; 4 déc. 2008, n° 27058/05, Dogru c/ France, AJDA 2008. 2311 ; ibid. 2009. 872, chron. J.-F. Flauss ; D. 2009. 103, obs. Z. Aït-El-Kadi ; Constitutions 2010. 73, obs. L. Burgorgue-Larsen ; RTD civ. 2009. 285, obs. J.-P. Marguénaud ; 30 juin 2009, n° 25463/08, Jasvir Singh c/ France
9. Discours sur le séparatisme religieux aux Mureaux (78) le 2 oct. 2020.
10. D’où il faut exclure le directeur d’école qui n’est pas chef d’établissement.
11. Peut-être faudrait-il penser à changer ce nom ?