- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
L’expropriation pour cause d’utilité publique
L’expropriation pour cause d’utilité publique
Chronique de jurisprudence 2011-2012 - Phase administrative

Cette année, certains arrêts du Conseil d’État ou de cours administratives d’appel ont permis de préciser des aspects de la phase administrative de la procédure d’expropriation, bien qu’aucun changement majeur ne soit à signaler, l’actualité de la phase administrative étant beaucoup moins riche que celle de la phase judiciaire (V. le prochain n° de l’AJDI). Parmi ceux-ci, on retiendra notamment qu’un refus d’engager la procédure pour risque naturel majeur crée une situation d’urgence au sens du référé-suspension (CE 15 fév. 2012, n° 352259) ; que, pour apprécier le bilan coût-avantages, le juge administratif ne doit pas tenir compte du caractère subsidiaire de l’opération d’expropriation, qui relève de l’examen de la nécessité d’exproprier (CE 19 oct. 2012, n° 343070) et que plusieurs cours administratives d’appel continuent d’accorder un intérêt au « bilan comparatif », ce qui atteste le développement de ce mode de raisonnement qui ne s’est toutefois point imposé comme celui auquel il doit être, en principe, recouru par le juge administratif .
AJDI 2013. 16
par Simon Gilbert