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La loi « récidive III » : extenstion et aggravation de la « probation » obligatoire
La loi « récidive III » : extenstion et aggravation de la « probation » obligatoire

La loi « récidive III » du 10 mars 2010 opère, hors les feux de l’attention médiatique et droit de l’hommiste, de sérieuses retouches au régime juridique des mesures de sûreté et autres formes de « probation obligatoire », que la France met en place, après les Etats-Unis et de nombreux pays occidentaux, notamment pour les formes de délinquance les plus violentes ou à caractère sexuel. La loi en étend le domaine, en raidit la sévérité, la durée et le niveau de contrainte, tout en apportant quelques maigres améliorations processuelles, lesquelles ne sont pas de nature à écarter les très sérieuses réserves que l’on peut émettre envers des dispositifs qui, sur les plans médicaux, criminologiques et institutionnels, sont marqués par un amateurisme absolu, dont il apparaît urgent que notre pays sorte .