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Procès en révision : deux « lâches » pour deux acquittements

C’était hier, à la cour d’assises du Gard, le deuxième jour du procès en révision d’Abdelkader Azzimani et d’Aberrahim El Jabri, condamnés pour meurtre à vingt ans de réclusion criminelle.

par Marine Babonneaule 2 juillet 2014

Il aura fallu les élucubrations d’un témoin charlatan (  isset(node/167437) ? node/167437 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"' name="undefined">lire notre article), l’audition d’un directeur d’enquête pour le moins léger, les déclarations des vrais coupables – condamnés à vingt ans de réclusion chacun – pour que les avocats de la partie civile lâchent un peu la thèse intenable selon laquelle Abdelkader Azzimani et Aberrahim El Jabri auraient été commanditaires du meurtre d’Abdelaziz Jhilel, en 1997.

Hier, la cour d’assises de Nîmes a d’abord entendu Michel Boulma, dont le sang a été retrouvé à bord de la voiture dans laquelle...

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