- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Loi et traité
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Profession juridique et judiciaire
- > Responsabilité
- > Société et association
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Propriété intellectuelle
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Droit international et communautaire
- > Etrangers
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- Avocat
Article
Présentation d’un projet de loi tendant à limiter et à encadrer les gardes à vue
Présentation d’un projet de loi tendant à limiter et à encadrer les gardes à vue
Michèle Alliot-Marie a transmis au Conseil d’État, le 7 septembre 2010, un projet de loi tendant à limiter et à encadrer les gardes à vue, censé tirer les conséquences de la censure prononcée le 30 juillet 2010 par le Conseil constitutionnel (V. Dalloz actualité, 30 août 2010 isset(node/137076) ? node/137076 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>137076).
par S. Lavricle 13 septembre 2010
Il n’aura fallu qu’un peu plus d’un mois au gouvernement pour « riposter » à la décision d’inconstitutionnalité du 30 juillet, le garde des Sceaux ayant accompagné sa transmission au Conseil d’État de la première partie du projet de réforme du code de procédure pénale, présenté pour concertation le 1er mars 2010 (V. not. Dalloz actualité, 15 mars 2010 isset(node/135032) ? node/135032 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>135032), d’un projet de loi « tendant à limiter et à encadrer les gardes à vue ».
Le texte, comme le suggère son intitulé, tend à répondre à un double objectif : maîtriser le nombre des gardes à vue et accroître significativement les droits des personnes gardées à vue. Pour cela, il suggère une réécriture intégrale des articles actuellement applicables. Les nouvelles dispositions sont insérées dans une nouvelle section du chapitre consacré à l’enquête de flagrance, auquel les dispositions sur l’enquête préliminaire et l’instruction renvoient. Un nouveau principe y est d’abord posé : celui de l’audition libre du suspect, autrement dit du caractère subsidiaire du placement en garde à vue (nouvel art. 73-1). La personne interpellée pourra, si elle y consent expressément, être entendue librement (art. 73-2). Le nouveau texte propose une définition de la garde à vue (« mesure de contrainte par laquelle une personne est, dans les...
Sur le même thème
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 1er avril 2024
-
Petite pause printanière
-
Suivi socio-judiciaire : revirement de jurisprudence au sujet du défaut de délivrance des avertissements
-
Loi renforçant la sécurité des élus locaux : je préviens, je protège et j’informe
-
La mention manuscrite « je fais appel » peut-elle valoir déclaration d’appel ?
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 25 mars 2024
-
L’associé du local perquisitionné n’a pas nécessairement qualité pour agir en nullité
-
Loi sur les ingérences : l’Assemblée mise sur la surveillance et la transparence
-
Élargissement du principe de prohibition de la reformatio in pejus au crédit de réduction de peine
-
François Mazon, d’une vie à l’autre