- Administratif
- Toute la matière
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Loi et traité
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Profession juridique et judiciaire
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Toute la matière
- > Audiovisuel
- > Commerce électronique
- > Communications électroniques
- > Contrat – Responsabilité
- > Cyberdélinquance
- > Infrastructures et réseaux
- > Intelligence artificielle
- > Droits fondamentaux
- > Propriété industrielle
- > Propriété littéraire et artistique
- > Protection des données
- > Statut professionnel
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Droit international et communautaire
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- Avocat
le 19 janvier 2023
En intégrant Darrois Villey Maillot Brochier en 2011, Orphée Grosjean a réalisé un rêve : celui d’exercer dans une adresse prestigieuse, qui l’a hissé au rang des grands noms de la place en M&A et droit boursier. Portrait.
Pour rejoindre le cabinet français Darrois Villey Maillot Brochier, Orphée Grosjean a dû se faire violence et aller contre sa nature. « Grâce à un de mes professeurs à l’ESCP, j’avais obtenu un entretien pour un stage à la suite duquel je n’ai pas eu de réponse. J’ai donc fait le siège », sourit celui qui, à force d’acharnement, obtient finalement le Graal en 2011. Lequel a rapidement débouché sur une offre de collaboration la même année. Ce qui l’a attiré chez Darrois ? Le côté inaccessible du cabinet, doublé de l’aura magnétique et mystérieuse de son fondateur. « Le prestige de la structure, où il y avait beaucoup d’appelés, mais peu d’élus, me faisait penser au roman La Firme de John Grisham », raconte l’avocat. « J’avais envie d’être sur tous les plus beaux dossiers de la place, tout en restant discret. En poussant les portes de ce cabinet, cette opportunité m’était donnée ».
Parcours du débutant
Avant le début de l’aventure Darrois, Orphée Grosjean estime rétrospectivement qu’il ne s’était pas donné les moyens nécessaires pour construire la carrière à laquelle il aspirait… Après une prépa littéraire tumultueuse en hypokhâgne et khâgne à Henri IV, où ce natif de Lyon devait jongler entre études et triathlon à un « assez haut niveau », il échoue à son examen d’entrée à l’École normale supérieure (ENS). Cap à nouveau sur Lyon, où l’étudiant s’inscrit alors tout d’abord en licence d’histoire « sans conviction » avant de se tourner finalement vers le droit à l’université Jean Moulin (Lyon 3). Un peu par défaut… « Je n’avais pas d’appétence particulière pour les études de droit, mais plutôt pour la profession d’avocat », glisse-t-il. « Il me semble que c’est l’un des rares cas où il y a une telle déconnexion entre une profession extrêmement humaine et mouvante, et des études qui sont l’exact opposé. Par ailleurs, je ne savais pas à l’époque qu’il était préférable de faire tel ou tel master, ni même à quel moment il fallait candidater pour intégrer les cabinets parisiens qui m’attiraient ». Son master 2 droit des affaires et ingénierie financière en poche, Orphée Grosjean décroche tout d’abord un stage dans le cabinet de droit des affaires d’André Soulier à Lyon en 2008. « Cette expérience a confirmé tout ce que je pensais et aimais de la profession, tant au niveau de la relation avec les clients que de la diversité des sujets traités », se souvient celui qui, après avoir passé le concours d’avocat à Lyon, candidate ensuite dans tous les cabinets parisiens qui comptent. Après avoir essuyé quelques refus, il finit par rejoindre TAJ en...