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Si la complémentarité a été choisie dans le Statut de la Cour pénale internationale, alors que la primauté avait été la règle retenue pour les tribunaux pénaux internationaux, la question ici posée est de savoir si ces deux systèmes sont alternatifs ou s’ils ne devraient pas être cumulatifs.
Cet article est la transcription d’une conférence donnée au Collège de France, le 19 mars 2007, lors du séminaire de Mireille Delmas-Marty intitulé « Quel procureur ? Quel Juge ? Poursuivre et juger selon les intérêts de la justice ». Le contenu de cette conférence s’inscrivait dans le fil des interrogations (soulevées dans le cours de Mireille Delmas-Marty, qui précédait ce séminaire) sur la manière d’«ordonner les interactions entre justice nationale et justice internationale » et de « définir les critères des intérêts de la justice », afin d’aller, peut-être, vers « une communauté judiciaire transculturelle ». La forme et le ton de la conférence ont été conservés.