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Revue de presse5 mars 2008

La protection de l’emprunteur profane

Qu’il soit professionnel ou consommateur, l’emprunteur profane sera protégé contre les risques du crédit. Et c’est au banquier, débiteur à son égard d’un devoir de mise en garde, d’analyser et de traiter ces risques. Outre la vérification de la capacité financière de l’emprunteur et de la caution, ce devoir de mise en garde suppose une analyse sérieuse de la viabilité du projet financé. C’est, « a priori », le prix de la protection de l’emprunteur profane.