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La Cour de cassation a examiné, mercredi 24 juin, le pourvoi de Maurice Agnelet, condamné pour l’assassinat de sa maîtresse Agnès Le Roux, en 1977.
par Marine Babonneaule 26 juin 2015

Ce n’est plus l’affaire Le Roux mais l’affaire Agnelet. Maurice Agnelet se dit, depuis 38 ans, innocent de l’assassinat de son ancienne maîtresse Agnès Le Roux, disparue à la Toussaint 1977. Un corps jamais retrouvé. Pas de date précise de crime. Pas de lieu, non plus ou si, deux, à la fois Nice et Monte Cassino, en Italie. Un mobile, peut-être. Avant de disparaître, Agnès Le Roux, héritière du casino Palais de la Méditerranée, avait vendu – sur les conseils de son amant – les parts qu’elle détenait pour trois millions de francs. L’argent, d’abord placé sur un compte commun, avait par la suite été transféré au seul nom de Maurice Agnelet. Et puis, le témoignage fracassant du fils Guillaume, lors du dernier procès, qui avait bousculé la cour et emporté le jury en affirmant que son père et sa mère lui avaient raconté le meurtre (V. Dalloz actualité,11 avr. 2014, M. Babonneau isset(node/166024) ? node/166024 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>166024 et 10 avr. 2014, M. Babonneau isset(node/166002) ? node/166002 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>166002 ).
Avec le mystère, une saga judiciaire indéniable. Maurice Agnelet bénéficie d’abord d’un non-lieu en 1985. Quelque 22 ans après, la chambre d’accusation d’Aix-en-Provence ordonne en 2000 la réouverture de l’instruction pour charges nouvelles sur la base de deux instructions ouvertes en 1995 et 1998. Les péripéties juridiques se passent et, en 2005, la chambre de l’instruction renvoie Maurice Agnelet aux assises du chef d’assassinat « sur la personne d’Agnès Le Roux à Nice entre...