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Longtemps plongé dans les abysses de la science criminelle, le droit de l’application des peines émerge enfin dans l’ordre juridique interne sous l’impulsion du législateur qui s’est tourné vers la juridictionnalisation de la peine dans ses lois du 15 juin 2000 et du 9 mars 2004. Le procès pénal « post sententiam » constitue alors le maillon ultime de l’action publique pour l’application des peines. A ce titre, le législateur français a choisi de faire entrer la victime de l’infraction dans le paradigme essentiellement punitif de l’application de la sanction pénale. Celle-ci se voit conférer certaines prérogatives procédurales même si, en l’état actuel du droit, la qualité de partie au procès pénal « post sententiam » doit encore lui être refusée.
par Guillaume Royer