- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Garde à vue : l’assemblée plénière impose sans délai l’assistance effective d’un avocat
Garde à vue : l’assemblée plénière impose sans délai l’assistance effective d’un avocat
Par quatre arrêts du 15 avril 2011, l’assemblée plénière de la Cour de cassation déclare nullles sans délai les gardes à vue sans l’assistance effective par un avocat dès le début de la mesure et pendant les interrogatoires.
par S. Lavricle 19 avril 2011

Ultime rebondissement dans le feuilleton à épisodes qu’aura constitué la réforme de la garde à vue. Le jour où la loi no 2011-392 du 14 avril 2011 (sur ce texte, V. Dalloz actualité, 15 avr. 2011, obs. E. Allain isset(node/144244) ? node/144244 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>144244) est publiée, l’assemblée plénière de la Cour de cassation, saisie par la première chambre civile dans quatre affaires concernant le droit des étrangers, décide que le principe de sécurité juridique et les nécessités d’une bonne administration de la justice ne peuvent être invoqués pour priver un justiciable de son droit fondé sur l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme (Convention EDH), et donc différer dans le temps le bénéfice des garanties du droit « effectif et concret » à un procès équitable.
Dans les dossiers déférés, quatre personnes de nationalité étrangère avaient été arrêtées et placées en garde à vue pour séjour irrégulier (pourvois nos 10-17.049, 10-30.313 et 10-30.316) et vol (no 10-30.242). Placées en rétention, elles contestèrent la régularité de la procédure et dénoncèrent, en particulier, le fait qu’elles n’avaient pas bénéficié...
Sur le même thème
-
Loi sur la justice des mineurs : le Conseil constitutionnel a eu le dernier mot
-
Précisions apportées au régime juridique de l’astreinte pénale en urbanisme
-
[PODCAST] « C’est un permis de tricher ! » – À propos de la loi du 13 juin 2025 visant à sortir la France du piège du narcotrafic
-
L’impasse des centres éducatifs fermés
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 30 juin 2025
-
La modeste condamnation de la France pour contrôle au faciès
-
JLD et droit à un tribunal impartial : quelques précisions
-
Commissariat de secteur, l’action à l’épreuve du droit
-
Nullité et moyens de preuves produits par le mis en examen
-
Clarification sur le concours d’obligations entre extradition et MAE