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Article

Le délit de complicité de diffamation publique peut être une faute de service
Le délit de complicité de diffamation publique peut être une faute de service
La juridiction judiciaire est incompétente pour connaître de la responsabilité pécuniaire d’un maire ayant commis une faute sur le fondement du délit de complicité de diffamation publique.
par J. Daleaule 5 août 2006
Poursuivi pour délit de complicité de diffamation publique par la Cour d’appel de Paris, un maire a été condamné à verser des dommages-intérêts à une association mise en cause par celui-ci à la suite de troubles ayant perturbé une fête de quartier. La Chambre criminelle de la Cour de cassation censure cette solution. Elle rappelle en effet que « les tribunaux répressifs de l’ordre judiciaire sont incompétents pour statuer sur la responsabilité d’une administration ou d’un service public en raison d’un fait dommageable commis par l’un de leurs agents ; que, d’autre part, l’agent d’un service public n’est personnellement responsable des conséquences dommageables de l’acte délictueux qu’il a commis...
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