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Le quotidien du droit en ligne

Thibault de Ravel d’Esclapon

Un million pour un « post » ! de l’influence de la SEC sur l’influence de Kim Kardashian ?

le 12 Octobre 2022 / Affaires

La célèbre influenceuse s’est acquittée d’une somme de près de 1,3 million de dollars auprès du gendarme boursier américain, la Securities and Exchange Commission, parce qu’elle n’avait pas précisé qu’elle avait été rémunérée pour l’une de ses publications sur un réseau social vantant l’intérêt d’un crypto-actif. Cette affaire, loin d’être isolée, permet de s’interroger, dans un contexte de baisse générale des marchés financiers, sur les risques de l’intervention des « finfluenceurs » sur les réseaux sociaux.

Le cinéma à la barre : In the Name of the Father, de Jim Sheridan (1993)

le 16 Janvier 2018 / Jugement | Avocat

La récente publication des mémoires de Paddy Amstrong (avec M.-E. Tynan, Life after Life. A Guildford four memoir, Gill Books, 2017) rappelle que le conflit nord-irlandais des quarante dernières années s’est aussi déroulé au sein même des tribunaux britanniques. Les Troubles ont connu de nombreux chapitres judiciaires, généralement très sombres. Ce fut le cas pour Patrick, dit « Paddy », Amstrong, l’un des quatre condamnés à tort pour l’attentat des pubs de Guildford survenu le 5 octobre 1974. Chris Mullin, du Guardian (10 avr.

Le cinéma à la barre : The Paradine Case, d’Alfred Hitchcock

le 26 Novembre 2015 / Profession juridique et judiciaire | Avocat

Film raté, The Paradine Case ? Film maudit ? C’est ce qu’il faudrait croire si l’on se souvient de la réponse que donnait Gregory Peck lorsqu’on l’interrogeait sur le nom de l’un de ses films qu’il aimerait brûler. Il citait toujours cette dernière collaboration entre le célèbre producteur David O. Selznick et Alfred Hitchcock qui lorgnait déjà du côté de sa propre compagnie. C’est aussi ce qu’il faudrait croire quand on sait qu’à sa sortie, en 1947, le film fut un échec commercial, entrant dans une phase de déficit permanent dès juin 1950.