- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Un avocat, condamné à six mois d’interdiction d’exercice de la profession pour violation du secret professionnel, a été débouté de ses demandes à l’égard de l’assureur de l’Ordre des avocats. Il affirmait que l’Ordre et le bâtonnier étaient responsables de sa déconfiture, en raison des poursuites et de la sanction disciplinaire prononcée à son encontre.
par Anne Portmannle 16 avril 2014

L’affaire a commencé il y a plus de vingt ans. Un avocat au barreau de Lyon et son épouse ont conclu un contrat de construction d’une maison individuelle. La construction était affectée d’importants désordres et le constructeur a été placé en liquidation judiciaire. L’avocat a déclaré sa créance au passif de la liquidation judiciaire et compte tenu de l’importance de la créance, a été désigné en qualité de contrôleur à la liquidation judiciaire. Il a obtenu, en usant de sa qualité d’avocat, des informations confidentielles sur la comptabilité de la société et a dénoncé au procureur des malversations commises par le dirigeant de cette société, déposant lui-même une plainte contre lui. C’est dans ces circonstances que des poursuites disciplinaires ont été engagées contre lui, pour dénonciation au procureur de faits dont il avait eu connaissance en sa qualité d’avocat, d’une part, et d’autre part pour avoir déposé une plainte à l’encontre du...
Sur le même thème
-
Perquisition dans un cabinet : variabilité de l’appréciation de la sélection de documents versée au dossier selon la mise en cause ou non de l’avocat
-
Perquisition dans un cabinet d’avocat : la saisissabilité toujours à son comble en raison d’une conception très restrictive des documents relevant des droits de la défense
-
Perquisition et secret professionnel : attributions du bâtonnier
-
Champ d’application de la déclaration de soupçon : le blanchiment de certaines infractions, ou plus ?
-
Précisions sur le régime du contentieux des saisies contestées dans le cadre d’une perquisition chez un avocat
-
Secret professionnel de l’avocat : l’estampillage « confidentiel » ne permet pas de faire obstacle à la saisie
-
Visites domiciliaires en matière de concurrence et définition restrictive du champ des éléments couverts par le secret professionnel de l’avocat
-
Opérations de visites domiciliaires et saisies : les contours du contrôle du juge
-
Défense de rupture ou rupture des droits de la défense ?
-
Revirement de jurisprudence concernant le point de départ de la prescription de l’action en responsabilité contre l’avocat