- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Interprétation des conditions d’exécution d’un mandat d’arrêt européen
Interprétation des conditions d’exécution d’un mandat d’arrêt européen
Par un arrêt du 26 février 2013, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) répond à une question préjudicielle relative à l’exécution d’un mandat d’arrêt européen délivré en vue de l’exécution d’une peine de prison prononcée par défaut.
par Nelly Devouèzele 22 mars 2013
Un tribunal italien, constatant le défaut de comparution d’un prévenu en fuite sur le territoir italien depuis 1996, alors qu’il est visé par deux mandats d’arrêts délivrés par les autorités italiennes en 1993, décide en 1997 de signifier les notifications aux deux avocats désignés par l’accusé. En 2003, la cour d’appel confirme la condamnation du prévenu à une peine de dix ans d’emprisonnement pour faillite frauduleuse prononcée par le tribunal le 21 juin 2000. Le prévenu est arrêté en Espagne en 2008 mais s’oppose à sa remise aux autorités italiennes. Il avance, d’une part, que la juridiction d’appel n’a pas tenu compte de la révocation des deux avocats et que ce sont donc ceux-ci qui ont reçu les notifications et l’ont défendu en appel ; et, d’autre part, que son extradition doit être conditionnée par la garantie qu’il pourra former un recours contre sa condamnation. Il introduit une plainte constitutionnelle auprès des tribunaux espagnols à l’encontre de l’ordonnance autorisant sa remise aux autorités italiennes, alléguant d’une violation de son droit à un procès équitable. Le tribunal constitutionnel espagnol déclare le recours recevable, ayant reconnu dans un arrêt antérieur qu’une extradition sans...
Sur le même thème
-
Exposition à des substances toxiques : la Cour européenne rappelle les exigences garanties par le droit à la vie
-
Diffusion d’une circulaire relative à la prise en charge des personnes de nationalité étrangère définitivement condamnées
-
Compétence du pouvoir exécutif en cas de conflit entre MAE et extradition
-
L’information obligatoire des autorités compétentes de l’État de condamnation avant de refuser l’exécution d’une peine
-
Légitimité du recours à la force meurtrière par le GIGN
-
Mort de Rémi Fraisse : carton rouge pour le France
-
Contrôle de l’exercice de la liberté d’expression : deux nouvelles illustrations en matière de discrimination et de recel et dégradations
-
Refus d’obtempérer et recours à la force meurtrière
-
Liberté d’expression : mise en œuvre du contrôle de proportionnalité pour les délits d’entrave à la circulation et de dénonciation calomnieuse
-
Contrôle judiciaire et principe de spécialité dans le cadre du transfert d’un individu condamné au sein de l’UE