- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

La remise de la carte grise n’est pas nécessairement concomitante à la vente du véhicule
La remise de la carte grise n’est pas nécessairement concomitante à la vente du véhicule
Le Code de la route n’oblige pas le vendeur d’un véhicule à remettre la carte grise l’acheteur concomitamment à la vente ; il est même d’usage que, entre professionnels, cette remise n’intervienne que dans les quinze jours.
par X. Delpechle 7 mai 2007
L’article 2279 du Code civil protège, on le sait, l’acquéreur de bonne foi d’un bien mobilier a non domino, acquis auprès de celui qui n’en est pas le véritable propriétaire (pour une illustration, à propos de l’apport en société d’un bien crédit-baillé par le crédit-preneur, V. Com. 14 oct. 1997, Bull. civ. IV, no 257 ; D. 2000. somm. 74, obs. D. Mainguy ; Dalloz Affaires 1997. 1322 ; JCP E 1998.327, note L. Leveneur). C’est ce texte que l’on retrouve ici en filigrane, à l’occasion de la vente de plusieurs véhicules automobiles par le locataire de ceux-ci. Les juges du fond, suivis par la Cour de cassation, refusent de donner droit à la demande de restitution desdits véhicules émanant de leur propriétaire initial (qui les avait donc donné en location au vendeur), estimant que l’acheteur était de bonne foi au moment de l’acquisition.
Cette bonne foi était contestée par le propriétaire initial en se fondant sur deux séries d’arguments liés à la carte grise du véhicule. En vain....
Sur le même thème
-
Pause estivale
-
Justice des mineurs. L’enfance en danger sacrifiée
-
Loi Badinter : précisions sur la faute de la victime exclusive de réparation
-
Principe dispositif et perte de chance
-
Loi sur la justice des mineurs : le Conseil constitutionnel a eu le dernier mot
-
La responsabilité du fait des produits défectueux et le cas des pathologies évolutives devant la CJUE
-
[PODCAST] « Quid Juris » – Le scandale des airbags Takata
-
Saisine d’une cour d’appel incompétente : revirement sur la sanction
-
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois de juin 2025
-
Actions de l’associé contre le dirigeant d’une société et qualité à agir