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Renonciation équivoque à une cause d’inapplicabilité du statut des baux commerciaux
Renonciation équivoque à une cause d’inapplicabilité du statut des baux commerciaux
La renonciation à une cause d’inapplicabilité du statut des baux commerciaux ne peut résulter sans équivoque de la conclusion d’un bail dérogatoire.
par Y. Rouquetle 29 avril 2011
Curieux raisonnement que celui consistant, pour un preneur, à revendiquer l’application du statut des baux commerciaux au vu de la signature d’un bail dérogatoire de l’article L. 145-5 du code de commerce qui, précisément, permet aux parties de s’affranchir de la propriété commerciale !
La contradiction n’est cependant qu’apparente lorsque, comme au cas particulier, le preneur est demeuré dans les lieux au terme des deux années. En effet, il s’opère alors un nouveau bail dont les effets sont réglés par les articles L. 145-1 et suivants du code de commerce (C. com., art. L. 145-5, al. 2 ; pour des applications jurisprudentielles, V. not. Civ. 3e, 8 oct. 1986, Bull. civ. III, n° 135 ; 27 avr. 1988, Bull .civ. III, n° 78 ; 19 juill. 2000, AJDI...
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