- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Un bail conclu postérieurement à l’entrée en vigueur de la loi du 23 décembre 1986 ne peut être soumis à la loi de 1948 même si l’appartement sur lequel il porte constitue, associé à un autre appartement objet d’un bail distinct et soumis à cette loi, l’habitation du preneur.
par G. Forestle 30 mars 2010
Où l’on reparle de l’adjonction de locaux à un bail soumis au statut issu de la loi 1948 et de la mort programmée de celui-ci…
On sait que l’article 25 de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986 impose l’éviction du statut de 1948 pour tous les locaux vacants à compter de son entrée en vigueur. Mais on sait aussi qu’après avoir rappelé le caractère d’ordre public (Civ. 3e, 2 juin 1999, D. 2000. Jur. 733, note Beaugendre ; RDI 1999. 466, obs. Collart-Dutilleul
; Rev. loyers 1999. 426, obs. Rémy ; 19 mars 2003, D. 2004. Somm. 846, obs. Gérard
; AJDI 2003. 418, obs. Rouquet
; Rev. loyers 2003. 366, obs. Canu ; Loyers et copr. 2003, n° 108, obs. Vial-Pedroletti ; Civ. 3e, 28 oct. 2003, AJDI 2004. 456, note Beaugendre
; Administrer févr. 2005. 35, note Beddeleem) et la portée étendue de cette disposition (V., jugeant que l’exclusion du statut vaut également pour les meublés : Civ. 3e, 30 janv. 2002, AJDI 2002. 457, obs. Beaugendre
; Administrer juin 2002. 43, obs. Canu ; Loyers et copr. 2002, n° 88, obs. Vial-Pedroletti), la Cour de cassation avait semblé accorder un sursis à la loi du 1er septembre 1948 en jugeant que l’adjonction de locaux vacants au bail en cours, bien que postérieure au 23 décembre 1986, n’entraînait pas exclusion partielle du statut, mais application de celui-ci à la totalité du contrat (Civ. 3e, 17 oct. 2007, D. 2007. AJ 2805, obs. Fores
t ; AJDI 2008. 484, note Zalewski
; Administrer févr. 2008. 28, obs. Canu ; Loyers et copr. 2007, n° 240, obs....
Sur le même thème
-
Petite pause
-
Panorama rapide de l’actualité « Immobilier » de la semaine du 12 mai 2025
-
Un dépôt de garantie excessif ne justifie pas un abattement sur la valeur locative
-
Procédure d’expropriation des immeubles indignes à titre remédiable : modalités de mise en œuvre
-
Infractions au code de l’urbanisme : l’astreinte assortissant une mesure de remise en état des lieux ne constitue pas une réparation du dommage causé
-
Les pouvoirs du juge des référés au cas de violation des règles d’urbanisme
-
Complexe, la simplification du droit de l’urbanisme ?
-
Crédit immobilier et responsabilité de la banque du fait de ses démarcheurs
-
CNTGI : le président peut briguer plus de deux mandats
-
Défaut d’habilitation du syndic à agir en justice et recevabilité de l’action