- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Violation d’une règle d’urbanisme et préjudice personnel direct d’une association de protection de l’environnement
Violation d’une règle d’urbanisme et préjudice personnel direct d’une association de protection de l’environnement
La violation d’une règle d’urbanisme peut constituer un préjudice personnel direct à une association dès lors qu’elle portait atteinte à la vocation et à l’activité de cette dernière.
par A. Vincentle 3 octobre 2007
Il a fallu attendre l’arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 9 juin 1959, SCI Terrasse royale (Bull. civ. I, n° 291 ; AJPI 1959, p. 122, note M. S.) pour que soit admise l’action en responsabilité d’un tiers arguant de la violation de règles d’urbanisme. Seulement, afin de limiter les effets particulièrement redoutables de tels recours, pouvant déboucher sur la démolition de la construction litigieuse, des garde-fous ont été posés. Ainsi, la violation invoquée doit concerner une règle de fond : servitude d’urbanisme ou prescription imposée par une autorisation d’occupation du sol. À ce propos, la violation d’une règle d’urbanisme simplement permissive a été reconnue comme pouvant appuyer une action en démolition (Civ. 3e, 28 mars 2001, Christa c/ Nouvel Rousselot et a., Bull. civ. III, n° 127). Les tiers doivent par ailleurs prouver...
Sur le même thème
-
Pause estivale
-
Appréciation globale par l’ARCOM du pluralisme de l’information
-
Précisions apportées au régime juridique de l’astreinte pénale en urbanisme
-
Panorama rapide de l’actualité « Administratif » de la semaine du 30 juin 2025
-
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois de juin 2025
-
La modeste condamnation de la France pour contrôle au faciès
-
L’État et l’après-Bétharram
-
Démission d’office des conseillers régionaux déclarés inéligibles
-
Panorama rapide de l’actualité « Administratif » de la semaine du 23 juin 2025
-
Conditions d’injonction à une personne publique de mettre fin à un comportement dommageable ou à un dommage de travaux publics : le Conseil d’État poursuit sa synthèse