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Hier, devant la cour d’assises de Paris, comparaissaient Chantal C… et Anouk P…, accusées de l’enlèvement et de la séquestration de l’avocate Pascaline Saint-Arroman Petroff (photo).
par Marine Babonneaule 9 avril 2013

Vêtue d’un cardigan parme, des cheveux retenus dans un chignon, Chantal C… a des allures de discrète bourgeoise parisienne. Lorsqu’elle s’assoit, derrière le box des accusés, elle lance un rapide regard à sa fille, qui comparait librement. Anouk P…, 21 ans, a les traits fins maternels et la pâleur d’une rousse, qu’elle n’est pas vraiment. L’attelage criminel est quelque peu déroutant. Toutes deux sont accusées d’avoir enlevé et séquestré une femme pendant presque 48 heures.
L’histoire est un peu folle. En 2009, l’avocate parisienne Pascaline Saint-Arroman Petroff se rend à la Closerie des Lilas, brasserie du XIVe arrondissement. Elle a rendez-vous avec une journaliste belge pour discuter d’un sujet qu’elle connaît bien : les séparations conflictuelles et la...
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