- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Interrompt le délai de péremption la demande de rétablissement de l’affaire au rôle, dès lors que cette demande fait valoir qu’a été prononcé le jugement d’un tribunal administratif dans l’attente duquel un sursis avait été ordonné avant que ne soit décidée la radiation.
par François Mélin, magistrat, vice-président au tribunal de grande instance de Bobignyle 27 février 2015
Au cours d’une instance, un sursis à statuer peut être décidé, selon les cas de manière obligatoire ou facultative. La décision de sursis suspend alors le cours de l’instance pour le temps ou jusqu’à la survenance de l’événement qu’elle détermine (C. pr. civ., art. 378), le juge n’étant pas alors dessaisi. À l’expiration du sursis, l’instance est poursuivie à l’initiative des parties ou à la diligence du juge, sauf la faculté d’ordonner, s’il y a lieu, un nouveau sursis (C. pr. civ., art. 379).
Dans l’affaire rapportée, le juge avait sursis à statuer, le 10 mai 2007, dans une hypothèse fréquemment rencontrée en pratique, à savoir celle dans laquelle il apparaît que la solution du litige pourrait être influencée par l’issue d’une autre instance en cours parallèlement. L’instance judiciaire, qui concernait la matière agricole, était en effet menée, alors qu’était attendue une décision d’un tribunal administratif à propos de la validité d’une autorisation préfectorale d’exploiter qui avait été accordée à l’une des parties.
Dans ce cadre, l’affaire avait été ensuite...
Sur le même thème
-
Mesures d’instruction in futurum et secret des affaires : l’obscur éclaircissement de la Cour de cassation
-
Contestation relative à une SARL : compétence exclusive du tribunal de commerce sauf dérogations
-
Vice caché et action récursoire : précision sur le point de départ du délai de prescription
-
Précisions procédurales sur les référés commerciaux
-
De l’action contre une transaction homologuée : la Cour de cassation persiste et signe !
-
Chèque impayé, titre exécutoire non judiciaire et pouvoir de contrôle du juge de l’exécution
-
Assignation délivrée à plusieurs personnes : un seul enrôlement suffit
-
La répartition des compétences internationales en matière de renonciation à succession
-
Admission de principe des clauses attributives de juridiction asymétriques
-
L’intérêt de l’appelant à faire un second appel en cas d’irrecevabilité encourue par un premier appel irrégulier