- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Le Conseil d’État apporte une nouvelle illustration de sa jurisprudence Béziers II en matière de délégation de service public.
par Diane Poupeaule 29 novembre 2016
La reprise des relations contractuelles à titre provisoire dans le cadre d’une délégation de service public peut être de nature à porter une atteinte excessive à l’intérêt général quand bien même les fautes commises par le délégataire n’auraient pas atteint un degré de gravité justifiant une résiliation aux torts exclusifs.
La commune d’Erstein a confié, par convention de délégation de service public, à la société Opale Dmcc l’exploitation du camping municipal, auparavant géré en régie par la commune. Trois ans plus tard, le conseil municipal a décidé, par délibération, de résilier pour faute cette convention. Saisi par le délégataire sur le fondement de la jurisprudence Béziers II (CE, sect., 21 mars 2011, n° 304806, Dalloz actualité, 23 mars 2011, obs. M.-C. de Montecler ; AJDA 2011. 591
; ibid. 670
, chron. A. Lallet
; D. 2011. 954, obs. M.-C. de Montecler
; RDI 2011. 270, obs. S. Braconnier
; AJCT 2011. 291
, obs. J.-D. Dreyfus
; RFDA 2011. 507, concl. E. Cortot-Boucher
; ibid. 518, note D. Pouyaud
), le juge des référés du tribunal administratif...
Sur le même thème
-
Les implications multiples des mesures d’adaptation au droit européen
-
Le titulaire a droit au paiement de travaux supplémentaires exécutés à la demande, même verbale, du maître d’ouvrage
-
Application ratione temporis de la directive Concessions
-
Pas de délai de standstill pour un marché de maîtrise d’œuvre passé à l’issue d’un concours restreint
-
Fixation de la durée d’une délégation de service public regroupant des services différents
-
Dispense de mise en concurrence en cas de protection de droits d’exclusivité
-
La délégation de services publics, une relation déséquilibrée au détriment de la collectivité
-
Une offre anormalement basse est une offre qui n’est pas économiquement viable
-
Assurance dommages-ouvrage et réserves lors de la réception des travaux
-
Rupture anticipée d’une délégation de service public : amortissement et biens de retour