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Constatation de l’inaptitude après une seule visite médicale
Constatation de l’inaptitude après une seule visite médicale
L’inaptitude ne peut être constatée après une seule visite médicale lorsque l’avis médical ne mentionne pas, outre la référence à l’article R. 4624-31 du code du travail, qu’une seule visite est effectuée. La mention d’une procédure d’urgence ne suffit pas.
par S. Maillardle 3 février 2010
L’inaptitude est « prise en compte par la loi pour ôter le caractère discriminatoire aux mesures décidées par l’employeur en raison de l’état de santé ou du handicap du travailleur » (Rép. trav. Dalloz., n° 356, v° Médecine du travail [Services de santé au travail], par J. Savatier). Lorsqu’il est déclaré inapte, le salarié ne peut plus occuper son poste de travail et ne peut donc prétendre à aucune rémunération. L’employeur est alors tenu de lui proposer un autre emploi approprié à ses capacités. Si le reclassement est impossible, le licenciement est alors justifié. Toutefois, si le salarié n’est ni reclassé ni licencié à l’issue d’un délai d’un mois, l’employeur est tenu de lui verser, dès l’expiration de ce délai, le salaire correspondant à l’emploi qu’il occupait avant la suspension de son contrat de travail.
Eu égard aux conséquences importantes qu’il est susceptible d’entraîner, le constat de l’inaptitude obéit à une procédure « destinée à garantir le salarié contre une appréciation trop...
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