- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Contrat collectif facultatif de santé et révision annuelle du tarif des cotisations
Contrat collectif facultatif de santé et révision annuelle du tarif des cotisations
La Cour de cassation précise que la révision annuelle du tarif des cotisations dans le cadre d’un contrat collectif facultatif constitue une modification des droits et obligations des membres participants, leur accordant le droit de dénoncer leur affiliation, dans un délai d’un mois à compter de la remise de la notice d’information par l’employeur ou la personne morale.
par Anne Seguinle 17 octobre 2012
Un employeur ou une personne morale peut signer un contrat collectif avec une mutuelle pour la prise en charge complémentaire des frais de santé (C. mut., art. L. 221-1). Chaque membre est lié contractuellement avec sa mutuelle par la signature d’un bulletin d’adhésion ou d’un contrat collectif. La loi Evin n° 89-1009 du 31 décembre 1989 a renforcé les droits des personnes assurées. Ainsi, les futurs membres sont informés préalablement à leur adhésion de leurs droits et obligations (C. mut., art. L. 221-4). Lorsque des modifications sont apportées aux droits et obligations des membres d’une mutuelle, une notice d’information doit être rédigée par la mutuelle et distribuée par l’employeur. Les membres peuvent alors – dans un délai d’un mois à compter de cette remise – dénoncer leur affiliation en raison de ces modifications (C. mut., art. L....
Sur le même thème
-
Recouvrement de l’indu de prestations sociales : autonomie de la contrainte
-
Contentieux des AT-MP : la tierce opposition ne permet pas de contourner l’indépendance des rapports
-
Contrôle URSSAF : caractère impératif de la méthode de calcul du redressement
-
Expatriation et refus de couverture de la faute inexcusable de l’employeur par la Caisse des Français de l’étranger
-
Contrôle des professionnels de santé, police de la tarification et formalisme substantiel
-
Précisions quant aux compétences respectives des juridictions administrative et judiciaire dans le contentieux de la sécurité sociale
-
Tarification AT-MP : précision sur la forclusion opposable à l’employeur
-
Bénéfice de la déduction forfaitaire spécifique pour frais professionnels aux agents de nettoyage
-
Application du principe d’indépendance des rapports caisse-assuré et caisse-employeur au délai de prescription de l’action en reconnaissance de la faute inexcusable
-
Recours subrogatoire de la CPAM en cas de transaction signée par la victime