- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Dans un arrêt du 13 mars 2007, la première Chambre de la Cour de cassation considère que le seul dépôt de fonds par un avocat sur le compte CARPA laisse présumer que ces fonds ont été reçus au titre de l’exercice de son activité professionnelle.
par S. Pokorale 5 avril 2007
Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une action en remboursement et indemnisation diligentée par les clients d’un avocat, victimes d’un détournement commis par ce dernier. Leur action était dirigée tant à l’encontre de leur avocat que de l’ordre des avocats, sa compagnie d’assurance et la CARSAB. L’avocat avait été par ailleurs condamné pénalement pour ces faits. La cour d’appel avait considéré que les clients ne démontraient pas que les chèques, dont ils invoquaient le détournement, avaient été reçus par l’avocat dans l’exercice de ses fonctions, estimant que le seul élément rapporté par ces derniers, à savoir le dépôt desdits chèques sur le compte CARSAB, était insuffisant en lui-même à prouver le caractère...
Sur le même thème
-
Ordonnances sur requêtes : la nécessité d’une transparence accrue
-
Focus sur l’article 16, XI, de la loi du 30 avril 2025 : l’entrée de la faute lucrative et d’une sanction civile confiscatoire dissuasive en droit commun
-
L’intelligence artificielle à la Cour de cassation : les cas d’usage
-
L’affectation diplomatique des biens immobiliers en matière d’immunité d’exécution des États étrangers
-
Mesures d’instruction in futurum et secret des affaires : l’obscur éclaircissement de la Cour de cassation
-
Relevé d’office des clauses abusives et autorité de la chose jugée
-
Panorama rapide de l’actualité « Civil » du 9 juin 2025
-
Responsabilité du fait des produits défectueux : interprétation des règles de prescription à la lumière de la directive de 1985
-
Succession dans le temps des textes sur la prescription en matière de dommages corporels
-
Vers une gouvernance encadrée de l’IA dans la justice française