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Article
Le Conseil national des barreaux, ou « la paralysie patente » d’une institution
Le Conseil national des barreaux, ou « la paralysie patente » d’une institution
Arnaud Lizop, membre du Conseil national des barreaux (CNB), dans une lettre adressée à Christian Charrière-Bournazel, évoque une représentation nationale « éclatée » et « paralysée »
par Marine Babonneaule 30 juin 2013
Que vaut la querelle au sein de la gouvernance des avocats ? Ces derniers savent-ils au moins ce qui se passe au-dessus de leur tête ? Sont-ils au courant que l’Ordre parisien a claqué la porte du Conseil national des barreaux pour protester contre l’absence de prise en compte, selon eux, de leurs propositions au sein de l’instance nationale ? Ont-ils lu les courriers échangés entre Christian Charrière-Bournazel et Christiane Féral-Schuhl ? Ont-ils pris connaissance des prises de position de Jean-Luc Forget, la troisième tête de la profession ? Il ne serait pas inutile qu’ils prennent le temps de lire – ici ou ailleurs - les articles qui ont relaté ces événements qui ne changeront pas fondamentalement – il est vrai...
