- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Délai de départ volontaire de l’étranger : incompétence du juge judiciaire
Délai de départ volontaire de l’étranger : incompétence du juge judiciaire
Le juge judiciaire ne peut déduire l’irrégularité du placement en rétention d’un étranger de l’absence de prévision dans la décision d’éloignement d’un délai approprié pour assurer le départ volontaire de cette personne.
par Caroline Fleuriotle 12 juin 2012

Dans un arrêt de cassation du 23 mai 2012, la première chambre civile apporte des précisions sur les pouvoirs du juge judiciaire saisi sur le fondement de l’article L. 552-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) (première saisine du juge des libertés et de la détention pour prolongation de la rétention).
En l’espèce, pour infirmer une décision de prolongation de la rétention d’un individu, le premier président d’une cour d’appel avait jugé que cette personne ne pouvait être placée en rétention alors qu’elle n’avait pas pu bénéficier du délai de retour volontaire. Il s’appuyait sur la directive 2008/115/CE du 16 décembre 2008 relative aux normes et procédures communes applicables dans les États membres au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier, dite «...
Sur le même thème
-
Liberté éditoriale des enseignants-chercheurs : le refus d’intégrer une contribution n’est pas abusif
-
Règlement Bruxelles I : liberté d’expression et condamnation prononcée dans un autre État membre
-
Atteinte à la vie privée et mouvement #Metoo : la volonté de la victime de rester anonyme doit être considérée
-
Personne étrangère placée sous curatelle et rétention administrative
-
La CEDH n’exclut pas que le droit à la vie puisse être mobilisé contre une banque
-
Droit de l’homme et rôle procédural des parents biologiques du majeur adopté
-
Décision médicale d’arrêt des traitements de survie prodigués à un enfant : un sursis mais pas de QPC
-
Isolement et contention en soins psychiatriques sans consentement : vers une troisième abrogation ?
-
Application par le Conseil d’État des nouvelles règles d’exportation des gamètes … selon les circonstances
-
Recevabilité de l’appel formé par la personne ayant la libre disposition du bien saisi