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Article

Frontière entre injure et diffamation: appréciation par l’Assemblée plénière
Frontière entre injure et diffamation: appréciation par l’Assemblée plénière
En l’absence de faits précis de nature à être, sans difficulté, l’objet d’une preuve ou d’un débat contradictoire, des propos ne sont pas diffamatoires mais injurieux.
par S. Lavricle 2 juillet 2010

Par l’arrêt du 25 juin 2010, l’Assemblée plénière clôt une procédure initiée en 2002 par le ministre de l’intérieur, visant l’auteur (et l’éditeur) de propos publiés dans un livret promotionnel accompagnant la sortie d’un disque de rap, en raison de passages mettant en cause la police nationale (entre autres, « Les rapports du ministre de l’intérieur ne font jamais état des centaines de nos frères abattus par les forces de police sans qu’aucun des assassins n’ait été inquiété »). Ce faisant, elle confirme également l’appréciation de la qualification des faits opérée par les juges du fond (du tribunal correctionnel initialement saisi à la cour d’appel statuant sur renvoi après...
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