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La réforme des institutions pour Emmanuel Macron, celle des politiques publiques pour Édouard Philippe… Les deux têtes de l’exécutif ont présenté ce que devrait être le quinquennat.
par Marie-Christine de Monteclerle 6 juillet 2017
« Le président de la République doit fixer le sens du quinquennat », a déclaré le 3 juillet Emmanuel Macron, devant le Congrès, à Versailles. « Il revient au Premier ministre, qui dirige l’action du gouvernement, de lui donner corps. » C’est ce qu’a fait le lendemain Édouard Philippe dans son discours de politique générale à l’Assemblée nationale. Deux interventions qui dessinent ce que devraient être les évolutions du rôle de l’État et de son droit dans les cinq prochaines années.
La révision constitutionnelle
Emmanuel Macron a fixé le calendrier et le contenu de la révision constitutionnelle déjà annoncée. Elle doit aboutir dans un an. Le nombre des parlementaires et des membres du Conseil économique social et environnemental (CESE) devrait être réduit d’un tiers et la possibilité de renouvellement de leurs mandats limitée. L’objectif est un travail parlementaire « plus fluide » et plus efficace. Le Parlement devrait légiférer moins mais mieux. Mais il faut aussi que le Parlement puisse agir vite, en situation d’urgence, en simplifiant la navette, voire, dans les cas les plus simples, en votant la loi en commission. Le rôle des parlementaires en matière d’évaluation des lois sera renforcé. En particulier, tous les textes importants devraient être systématiquement évalués au bout de deux ans.
Le président a annoncé l’introduction d’une « dose » de...
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