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Le Conseil national de la consommation a rendu, le 4 décembre 2012, un avis concernant les modalités d’une action de groupe qui pourrait être introduite dans le système juridique français.
par Laura Constantinle 20 décembre 2012
Alors qu’un projet de loi semble se profiler en 2013 et que la concertation initiée par le gouvernement vient de prendre fin (V. Dalloz actualité, 29 oct. 2012, obs. A. Astaix isset(node/155484) ? node/155484 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>155484 et les réf. citées), le Conseil national de la consommation, consulté justement par le gouvernement, tient à marquer son désaccord avec les dérives des procédures américaines. Cependant sa position commune, réunissant les délibérations du collège des professionnels et celles du collège des consommateurs, est sans surprise et sans innovation.
Il considère, tout d’abord, que l’objet d’une telle action devrait être la protection des consommateurs personnes physiques agissant dans un but non professionnel pour la réparation de « dommages sériels ayant pour origine commune l’inexécution ou la mauvaise exécution par un même professionnel de ses obligations vis-à-vis des consommateurs relatives à la vente de biens ou la fourniture de services ».
Il estime, ensuite, que seuls les dommages matériels...
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