- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Efficacité de la clause compromissoire dans le cadre d’une convention de garantie de passif
Efficacité de la clause compromissoire dans le cadre d’une convention de garantie de passif
La clause d’arbitrage contenue dans le contrat liant le stipulant au promettant peut être invoquée par et contre le tiers bénéficiaire d’une stipulation pour autrui, en l’espèce une société bénéficiaire d’une garantie de passif.
par X. Delpechle 5 août 2006
Cet arrêt constitue d’abord, pour la première Chambre civile de la Cour de cassation, le prétexte, qui ne s’imposait peut-être pas, de faire preuve, dans un bel attendu de principe, de pédagogie et d’expliquer, concrètement, la mise en œuvre du principe de compétence-compétence en matière d’arbitrage, sur lequel elle a rendu tant de décisions d’importance au cours de ces derniers mois (V. en dernier lieu Cass. 1re civ., 4 juill. 2006, n° 1128 FS-P+B+I ; sur lequel V. notre brève du 12 juillet dernier intitulée « Le principe de compétence-compétence en matière de contentieux précontractuel », et l’arrêt, également du 11 juillet 2006, n° 1325 F P+B+I, également disponible sur ce site sous une brève du 20 juillet dernier).
Elle émet deux séries d’hypothèses. Si le litige est porté devant une juridiction étatique alors que le tribunal arbitral est déjà saisi en vertu d’une convention d’arbitrage, celle-ci doit se déclarer incompétente et, semble-t-il, sans exception aucune. Il n’y a donc pas, dans ce cas de figure, une « priorité » de l’arbitre, selon une formule fréquemment employée par les tribunaux, à statuer sur sa propre compétence, mais celui-ci semble bénéficier d’une exclusivité pour...
Sur le même thème
-
Principe dispositif et perte de chance
-
Loi sur la justice des mineurs : le Conseil constitutionnel a eu le dernier mot
-
La responsabilité du fait des produits défectueux et le cas des pathologies évolutives devant la CJUE
-
[PODCAST] « Quid Juris » – Le scandale des airbags Takata
-
Saisine d’une cour d’appel incompétente : revirement sur la sanction
-
Panorama rapide de l’actualité « santé » du mois de juin 2025
-
Interruption du délai de prescription par une assignation en déclaration de jugement commun
-
L’énoncé des chefs du dispositif du jugement critiqué dans les conclusions : une simplification ?
-
À propos des débiteurs de l’obligation d’information en matière médicale
-
Précisions sur le point de départ des intérêts de la récompense liquidée selon le profit subsistant