- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

La mention manuscrite de la caution : l’ajout ou la substitution n’est pas nécessairement sanctionné
La mention manuscrite de la caution : l’ajout ou la substitution n’est pas nécessairement sanctionné
L’évocation du caractère « personnel et solidaire » du cautionnement, d’une part, la substitution du terme « banque » à ceux de « prêteur » et de « créancier », d’autre part, n’affectent ni le sens ni la portée des mentions manuscrites prescrites par les articles L. 341-2 et suivants du code de la consommation.
par Valérie Avena-Robardetle 24 avril 2013
L’ajout des termes « personnel et solidaire » ainsi que la substitution du terme « banque » » à ceux de « prêteur » ou de « créancier » n’ont pas pour effet d’invalider la mention manuscrite de l’article L. 341-2 du code de la consommation, ni celle de l’article L. 341-3 sur la solidarité fidèlement reproduite. Cette décision de bon sens se situe dans la lignée d’autres arrêts de la Cour de cassation qui se refuse à imposer une identité absolue de la mention manuscrite (V. déjà, à propos de l’ajout de l’adjectif « solidaire » à la mention de l’art. L. 313-7 c. consom., Civ. 1re, 5 avr. 2012, n° 11-12.515, D. 2012. Actu. 1004, obs. V. Avena-Robardet, et Pan. 1578, obs. P. Crocq ).
Si l’omission d’un terme sera sans doute plus sévèrement appréciée (sauf erreur simplement matérielle), l’on peut comprendre qu’un ajout...
Sur le même thème
-
Quand s’achève le devoir d’information annuelle due à la caution par le créancier professionnel ?
-
Sous-cautionnement et devoir de mise en garde : un amour contrarié ?
-
Crédit à la consommation et cautionnement professionnel imposé contractuellement
-
De la mention manuscrite requise au sein des cautionnements souscrits au bénéfice de l’APST
-
Deux QPC en droit des sûretés non transmises au Conseil constitutionnel
-
De la bonne utilisation de la disproportion du cautionnement
-
Dette partiellement cautionnée et information annuelle due à la caution
-
De la prescription extinctive en matière de sous-cautionnement
-
Le donneur d’aval ne peut pas solliciter le bénéfice de subrogation de l’article 2314 du code civil
-
Des moyens de défense de la caution assignée en paiement