- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Interdiction de l’action en justice de SOS-racisme sans accord préalable de la victime
Interdiction de l’action en justice de SOS-racisme sans accord préalable de la victime
Lorsque l’infraction a été commise envers une personne considérée individuellement, l’accord de celle-ci est nécessaire pour rendre recevable la constitution de partie civile d’une association de lutte contre le racisme.
par M. Lénale 8 janvier 2009

Depuis un arrêt des chambres réunies rendu en 1923, on sait qu’une association ne peut, en principe, défendre en justice la cause qui constitue son objet social (Ch. réun., 15 juin 1923, DP 1924. 1. 153, concl. Mérillon et note Rolland ; S. 1924. 1. 49, rapport Boulloche et note Chavegrin ; Boré, Pour la recevabilité de l’action association fondée sur un défense d’un intérêt altruiste, RSC 1997. 751 ). Mais on sait également que les exceptions législatives, sous forme d’habilitations, se sont multipliées ces dernières années, au point que l’on parle aujourd’hui de « privatisation de l’action publique » (par ex. Volff, Privatisation de l’action publique, Procédures 2005. Chron. 1 ; Pin, La privatisation du procès pénal, RSC 2002. 245
. - Pour une liste et une analyse des conditions d’habilitation des associations, V. Boré, La défense des intérêts collectifs par les associations devant les juridictions administratives et judiciaires, LGDJ, 1997, Annexe 1). Toutefois, ces associations ne disposent pas toutes des mêmes droits. Certaines ne peuvent agir que par voie d’intervention, se voyant privées de la possibilité de déclencher elles-mêmes l’action publique (art. 2-3, 2-9, 2-15 et 2-16...
Sur le même thème
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 16 juin 2025
-
« La première juridiction à avoir un dossier aussi important en correctionnelle avec un détenu »
-
Un train peut en cacher un autre : les dispositions antiblanchiment et anticorruption de la loi « narcotrafic »
-
L’encadrement des activités des personnes détenues
-
Clarification de l’office du JLD en matière de visites domiciliaires en droit pénal de l’environnement
-
Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 9 juin 2025
-
Vers une gouvernance encadrée de l’IA dans la justice française
-
Publication d’une décision de condamnation : de la lecture attentive de l’article 131-35 du code pénal
-
La règle d’ordre public du double degré de juridiction et ses conséquences
-
Extradition et réclusion à perpétuité pour des infractions économiques : une peine manifestement disproportionnée ?