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Sondages de l’Elysée : la chambre criminelle ordonne le retour du dossier au juge d’instruction
Sondages de l’Elysée : la chambre criminelle ordonne le retour du dossier au juge d’instruction
Aucune disposition constitutionnelle, légale ou conventionnelle ne prévoit l’immunité ou l’irresponsabilité pénale des membres du cabinet du président de la République.
par Maud Lénale 15 janvier 2013

La chambre criminelle a tranché le 19 décembre 2012, entre deux interprétations de l’article 67, alinéa 2, de la Constitution du 4 octobre 1958 relatif à l’inviolabilité du chef de l’État (sur cette question, V. O. Beaud, L’extension de l’immunité pénale aux collaborateurs du président, un retour à la raison d’État ?, D. 2011. Chron. 2946). Comme le résumait parfaitement l’arrêt de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris du 7 novembre 2011 : « pour le juge d’instruction et la partie civile, l’immunité définie par l’article 67 de la Constitution est strictement limitée à la personne du chef de l’État, alors que pour le ministère public, cette immunité est attachée à la fonction présidentielle et doit prendre en compte l’intervention possible de proches collaborateurs ».
Juridiquement, cette affaire aux multiples rebondissements n’a en effet eu de cesse d’illustrer cette dichotomie. Elle commence...
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