- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Arbitrage : conception minimaliste de l’effet négatif du principe de compétence-compétence
Arbitrage : conception minimaliste de l’effet négatif du principe de compétence-compétence
par Xavier Delpechle 19 février 2014
Cet arrêt apporte un utile éclairage sur le contenu de ce qu’il est convenu d’appeler l’« effet négatif » du principe de compétence-compétence en matière d’arbitrage. Et force est de reconnaître que, à la lecture de cet arrêt du 12 février 2014, ce contenu est minimaliste. Cela ne surprend guère, en réalité. En application de ce principe, si en présence d’une clause compromissoire, le juge étatique au sens large (il s’agit ici d’un juge consulaire) est saisi par l’un des signataires de celle-ci, il doit se déclarer incompétent, sauf nullité ou inapplicabilité manifeste de cette clause, situation qu’il lui...
Sur le même thème
-
Chronique d’arbitrage : vers une réforme du droit français de l’arbitrage ?
-
Chronique d’arbitrage : l’éviction du déséquilibre significatif de l’ordre public international
-
Inscription sur la liste de médiateurs de postulants titulaires : impact d’un diplôme d’État de médiateur familial
-
Chronique d’arbitrage : la Cour de cassation fait (encore) de l’arbitrage sans le savoir
-
Clauses de conciliation préalable « à toute instance » : où l’« inclusivité » se révèle piégeuse…
-
Vers une réglementation du financement de contentieux par les tiers dans l’Union européenne
-
Chronique d’arbitrage : avis de retour au calme
-
Chronique d’arbitrage : le juge anglais, juge universel de l’arbitrage ?
-
Arbitrage international : la nouvelle donne
-
Chronique d’arbitrage : l’influence du décret du 29 décembre 2023 sur l’exercice des voies de recours