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Délit d’entrave : première application de la loi Macron par la Cour de cassation
Délit d’entrave : première application de la loi Macron par la Cour de cassation
La peine d’emprisonnement prononcée pour entrave au fonctionnement régulier d’un comité d’entreprise ou d’un comité central d’entreprise avant que la décision intervenue soit passée en force de chose jugée est annulée.
par Jean Sirole 17 février 2016

Par cette décision, la chambre criminelle précise que sont annulées les peines de prison prononcées au titre du délit d’entrave au fonctionnement régulier d’un comité d’entreprise ou d’un comité central d’entreprise antérieurement prévues par l’article L. 2328-1 du code du travail.
Avant la loi n° 2015-990 du 6 août 2015, dite « loi Macron », l’article L. 2328-1 du code du travail sanctionnait par un emprisonnement d’un an et une amende de 3 750 € le fait d’apporter une entrave soit à la constitution d’un comité d’entreprise (CE), d’un comité d’établissement ou d’un comité central d’entreprise (CCE), soit à la libre désignation de leurs membres, soit à leur fonctionnement régulier, notamment par la méconnaissance des dispositions des articles L. 2324-3 à L. 2324-5 et L. 2324-8. Mais, afin de rendre la France plus attractive et l’économie...
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